Lors de son passage à La Tour, mardi soir, elle racontait à Hélène Bourgeois-Leclerc avoir maintenant terminé la «portion études» de sa médecine et est ...
Joannie Rochette a également admis à Hélène Bourgeois-Leclerc qu’elle n’avait jamais été particulièrement attirée par le feu des projecteurs et tout l’aspect vedette que cela apporte. Quand je m'en vais en ski de fond, je regarde un petit peu mon temps et essaie de faire un petit peu mieux à chaque fois. [...] Je pense que c'est un peu pour ça aussi que j'avais besoin d'un autre objectif qui allait me tenir motivée avec un certain cadre, mais sinon, côté sportif je pense que c’est important de garder des objectifs aussi. On dirait que je n’ai jamais vraiment eu à penser. Je pense qu'en étant athlète, j'avais beaucoup pratiqué des mouvements techniques et l'anesthésie c'est quand même très technique; c'est des petits mouvements, des petites sensations, beaucoup de précision, des doses», lança-t-elle d’entrée de jeu. • À lire aussi:
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« Je voulais quelque chose de concret pis de technique et l’anesthésie, je pense qu’en étant athlète c’est beaucoup de pratique, de mouvement technique. Il y a toujours une petite dépression post olympiques où ta vie change, il y a plus de cadre, c’est toi qui décide, ce n’est pu ta coach qui décide.» Elle exerce la médecine, mais elle est supervisée par un patron, c’est de cette façon qu’elle apprend son futur métier. «J’ai jamais eu vraiment à penser, fait ci fait-ça, on me corrige le mouvement. Elle a commencé à patiner à l’âge de deux ans et elle a pris sa retraite à presque 30 ans. Finalement, son choix s’est arrêté sur l’anesthésie.