Sept mois après avoir été brusquement renvoyé de son poste de cheffe d'antenne de CTV National News, Lisa LaFlamme a pris du recul. Après des décennies à ...
Au cœur de la tempête, une enquête indépendante sur les conditions de travail a alors été menée dans la salle de nouvelles du groupe. Ça a toujours été dans mon esprit, affirme la journaliste. Peut-être qu’on absorbe la négativité plus que ce que nous devrions, explique-t-il. Après des décennies à travers pour le réseau d’informations, elle met les choses en perspective. Je vais bien , affirme celle que beaucoup avaient associée au réseau d’information de CTV. Peut-être que nous nous entraînons à entendre des choses négatives.
Seven months after being let go as the anchor of CTV National News, Lisa LaFlamme talks to CBC News chief correspondent Adrienne Arsenault about her highly ...
It's never not been in my mind," she said. "I think about — the soldiers who we saw lose their legs in Afghanistan, or babies born in tarpaulins after the earthquake in Haiti, all of these things, those are sudden changes they don't come back from," she said. The Toronto Star was Earlier this year LaFlamme was nominated for best national news anchor at the Canadian Screen Awards. And I'm happy to talk. And so maybe we train ourselves to hear the negative. I'd say the same things I said 10 years ago, really." Last August, LaFlamme announced on Twitter that CTV's parent company, Bell Media, had made a "business decision" to end her contract. Soon, a narrative emerged speculating that her newly grey hair might have played a role in the decision. The head of CTV's news division was eventually replaced. "And I loved it. I am fine."
In a broadcasted interview with CBC's Adrienne Arsenault, the former CTV anchor confirmed reporting from the Star in February, which said she nominated ...
“The comeback is better than the setback.” “I submitted my work for the scrutiny of the judges.” At the time, LaFlamme would not confirm that she put her own name forward for the screen awards consideration, though in emails to the Star, she lauded the “hard work” of former colleagues recognized as nominees. “For me, I had 35 memorable years and I loved it — loved it all — and there are new things to love now. In February, the Star’s Joanna Chiu reported that CTV News had been prepared to nominate LaFlamme for numerous Canadian Screen Awards — but those submissions were later scrubbed of LaFlamme’s name. The Star’s previous reporting was based on seeing detailed nomination forms for the Canadian Screen Awards honours.
« J'ai vécu 35 années mémorables », à CTV, a-t-elle déclaré mercredi à la correspondante en chef de CBC News, Adrienne Arsenault. « Et j'ai adoré. J'ai tout ...
Cela n’a jamais été dans mon esprit », a-t-elle déclaré. Peut-être que nous absorbons le négatif plus que nous ne le devrions », a-t-elle déclaré. Elle dit que perdre son emploi n’est rien en comparaison de certaines des difficultés dont elle a été témoin au travail. Le chef de la division des nouvelles de CTV a finalement été remplacé. LaFlamme avait cessé de se teindre les cheveux pendant la pandémie, ce que le Globe and Mail a rapporté Elle a dit qu’elle était « aveuglée » par le déménagement.
'You adapt to whatever it is,' says Lisa LaFlemme of CTV's output. CBC News Chief Correspondent Adrian Arsenault asked former CTV National News anchor Lisa ...
She says losing her job pales in comparison to the hardships she’s seen on the job. And I’m happy to talk. LaFlamme stopped dyeing her hair during the pandemic, which The Globe and Mail reported prompted a CTV executive to question her. The Toronto Star first reported the development in February. Last August, LaFlamme announced on Twitter that CTV’s parent company, Bell Media, had made a “business decision” to terminate its contract. “And I loved it.
Après des décennies à travers pour le réseau d'informations, elle met les choses en perspective.
Au cœur de la tempête, une enquête indépendante sur les conditions de travail a alors été menée dans la salle de nouvelles du groupe. Elle cite ainsi son récent travail pour Journalists for Human Rights, un organisme de développement médiatique canadienne. Ça a toujours été dans mon esprit, affirme la journaliste. Après plus de 30 ans de travail pour ce résau, elle met les choses en perspective. Peut-être qu’on absorbe la négativité plus que ce que nous devrions, explique-t-elle. Je vais bien , affirme-t-elle.
L'ancienne cheffe d'antenne de CTV National News, Lisa LaFlamme, s'est confiée dans une entrevue avec CBC, mercredi, sur sa volonté de continuer à ...
Depuis son congédiement, l’ancienne présentatrice de nouvelles de CTV a notamment couvert le décès de la reine Élisabeth II à titre de correspondante spéciale pour CityNews, en septembre dernier. L’ancienne cheffe d’antenne de CTV National News, Lisa LaFlamme, s’est confiée dans une entrevue avec CBC, mercredi, sur sa volonté de continuer à s’investir dans les enjeux qui lui tiennent à cœur, près de huit mois après son congédiement. Lisa LaFlamme avait annoncé dans une vidéo publiée sur Twitter, en août dernier, que Bell Media avait mis fin à son contrat après 35 ans, disant avoir été « prise au dépourvu » par cette décision.