On se réveille en sursaut, peut-être à cause des piaillements des enfants, et on se dit qu'il ne peut rien arriver de grave. Pas un mercredi matin de ...
Ça se défend, dans la mesure où il a foncé exprès dans une garderie bondée, pour infliger la terreur. Tous ces gens auront besoin de temps et de soins pour s’en remettre. Il y a des voitures de police, des ambulances. Malgré tout, on a hâte à la fin de la journée. Il était dans un autre monde, carrément », a raconté Hamdi Benchaabane, un voisin qui a retenu le chauffeur au sol jusqu’à l’arrivée des policiers. Il se passe quelque chose de grave ! Ils se précipitent sur les lieux, en état de choc. On hésite deux minutes, pour la forme, puis on se dit que non, tant pis, on va à la garderie. À ce moment où, en nous apercevant, ses yeux s’illumineront – et où il se précipitera dans nos bras pour nous donner un gros, gros câlin. « Viens-t’en à la garderie ! On saute dans la douche, on fait les lunchs. Pas un mercredi matin de février, à Laval.
C'est une double première : alors qu'il vient à peine de célébrer son 35e anniversaire, l'avocat montréalais Alexandre Bien-Aimé Bastien est devenu lundi le ...
« Je ne pense pas du tout que c’est une nomination de courtoisie ou une nomination politique. Me Bien-Aimé Bastien est parallèlement membre du Barreau de Trinité-et-Tobago, où il était depuis des années membre de l’étude New City Chambers, qui le consultait au besoin concernant des dossiers locaux. « C’est important pour que les tribunaux maintiennent leur légitimité, qu’ils soient le reflet de la population », dit-elle. « C’est une excellente nomination et je pense que la communauté juridique va en récolter de beaux résultats. « Le ministre [David] Lametti est ravi d’avoir nommé Alexandre Bien-Aimé Bastien à titre de juge de la Cour supérieure du Québec. « Il a plus de sagesse que son âge pourrait le laisser croire.
Si vous ne l'avez pas déjà lu, allez lire le reportage de ma collègue Katia Gagnon sur la « ressource » Chez Lise, publié dans La Presse de dimanche1.
Bref, je reviens Chez Lise : le système inventé par les dames de cœur de cette ressource est trop simple pour notre bureaucratie soviétisante qui gère l’archipel du goulag de la santé et des services sociaux au Québec. En lisant Katia, je me suis dit : ce modèle-là, c’est un modèle qui marche, avec ce qu’il faut de liberté pour les poqués et d’encadrement par des gens dévoués, sur le plancher. Donc, si on prend possession des contenants un mercredi, pas question de rapporter les échantillons au CLSC le lendemain ! C’est un modèle que le système ne peut pas ignorer, je le souligne : le système lui-même envoie des cas difficiles Chez Lise. L’équipe de Chez Lise les gère avec fermeté et avec souplesse. Pour 1000 $ par mois, ils sont nourris, logés et pris en charge de A à Z, du lavage aux médicaments.