Le premier ministre Justin Trudeau estime qu'Amira Elghawaby est la bonne personne pour mener la lutte contre l'islamophobie au pays.
À la suite de la publication de l’article de La Presse, le premier ministre Justin Trudeau lui avait demandé de clarifier ses propos. Je comprends que faire face à l’islamophobie, ça va exiger des conversations importantes et parfois difficiles, mais on a besoin de quelqu’un qui s’y connaît, qui est ancré à fond et je sais que c’est la bonne personne. (Ottawa) Le premier ministre Justin Trudeau estime qu’Amira Elghawaby est la bonne personne pour mener la lutte contre l’islamophobie au pays.
Quelques jours après la nomination d'Amira Elghawaby, les opposants continuent de se faire de plus en plus nombreux.
Il a dit qu’il était conscient de ce qu’elle a dit et elle va porter un message particulier, mais il n’a pas dit qu’il était porteur d’union», souligne-t-elle. «Ce sont des paroles lourdes de sens qui suscitent la colère. Une chose est claire, ce ne sera pas la nôtre!
Le gouvernement Trudeau n'a aucunement l'intention de montrer la porte à sa première représentante spéciale.
En 2013, à l’époque de la Charte des valeurs proposée par le Parti québécois de Pauline Marois, Mme Elghawaby avait dans un texte du Toronto Star cité le philosophe canadien John Ralston Saul, qui expliquait que les «civilisations bourgeoises» des «sociétés occidentales» ont «progressivement glissé vers les peurs paranoïaques du XXe siècle». «Peur de quoi? En 2019, dans un article d’opinion paru dans le Ottawa Citizen, Amira Elghawaby et le président du Réseau canadien anti-haine, Bernie Farber, de confession juive, déclaraient que «malheureusement, la majorité des Québécois semblent influencés non pas par la primauté du droit, mais par un sentiment antimusulman».
Avec Paul Arcand, Jonathan Trudeau questionne l'acharnement du premier ministre du Canada et les notes discordantes du parti libéral du Québec.
Le chef libéral Marc Tanguay a rabroué l'une de ses députées pour son appui à la nomination d'Amira Elghawaby, à titre de conseillère spéciale de Justin ...
Il a qualifié les propos de Mme Elghawaby d'inacceptables et insultants. C’est pour cette raison qu’elle l’a retiré», a mentionné le leader libéral. En conférence de presse, M.
Vers l'indépendance et le socialisme ! www.pcq.qc.ca - Parti communiste du Québec (PCQ) Document mis à ...
Sans doute que ce comité exclut également le Québec dans sa propre conception de ce que devrait être la " sécurité nationale ". Et pourquoi pas aussi un autre poste pour cette fois plus aider à combattre le racisme contre les peuples autochtones, sans oublier également un autre pour combattre ... Point à la ligne et ce, jusqu'à et y compris quand ce discours vise plus particulièrement les Québécois et les Québécoises, en tant que nation distincte, ce que nous sommes, il ne faudrait pas l'oublier. Le fait d'être respecté, cela devrait tout autant s'appliquer à nous. Rendu là, on serait en droit de se dire : pourquoi, tant qu'à y être, ne pas avoir également créé un autre poste de commissaire à la lutte contre le racisme visant les Noirs ? De toutes évidences, Justin Trudeau et son gouvernement, semblent vraiment être partis sur une offensive contre le Québec.
On parle beaucoup, depuis quelques jours, de la nomination d'Amira Elghawaby par Ottawa en tant que représentante spéciale de lutte contre l'islamophobie au ...
Et son parti a soudainement cru nécessaire de dénoncer Elghawaby. Il vaut la peine de citer son tweet intégralement. Cela nous rappelle une chose: le concept d’islamophobie sert plus souvent qu’à son tour à interdire toute critique de l’islam, comme si cette religion devait disposer d’un statut particulier dans la vie publique.
Le ministre du Patrimoine canadien, Pablo Rodriguez, lui a demandé de retirer ses propos ;; Le 28 janvier, le chef du Parti conservateur du Canada, Pierre ...
La députée libérale Jennifer Maccarone a d’abord écrit sur Twitter que la « CAQ démontre encore une fois une rigidité sans nom et un manque d’humanité en ne soutenant pas la nomination de Mme Elghawaby ». « Le gouvernement Trudeau a manqué une belle occasion de bâtir des ponts, a-t-il dit en mêlée de presse en début d’après-midi. Cependant, Justin Trudeau persiste dans son choix, a déploré le ministre caquiste responsable de la Laïcité, Jean-François Roberge.
Le premier ministre Justin Trudeau a réaffirmé qu'il appuyait «à 100 %» sa nouvelle représentante spéciale pour la lutte contre l'islamophobie.
Je ne partage pas cette opinion, mais comme j’ai dit c’est à elle de [les] clarifier». Moi je suis prêt à discuter», a-t-il dit. «Je pense que tout le monde est unanime pour dire que les propos tenus par le passé manquaient de nuance et que des précisions devaient être apportées», a déclaré la ministre des Sports Pascale St-Onge. Appelé à savoir s’il était «à l’aise» avec le choix de Mme Elghawaby, le ministre de la Justice David Lametti a dit : «je ne suis pas à l’aise avec les commentaires originaux. Il ne semble pas avoir entièrement passé l’éponge. Elle citait alors le philosophe canadien John Ralston Saul.
Cette dame a été engagée par le gouvernement fédéral pour lutter, dit-on, contre l'islamophobie. Ma foi, c'est un gâchis très gênant, un véritable euphémisme!
Le premier ministre Justin Trudeau a défendu son choix, mardi matin, après plusieurs jours de controverse entourant la nomination d'Amira Elghawaby comme ...
Trudeau, en la gardant en poste, vient cautionner le mépris envers les Québécois, a insisté M. Après lui avoir demandé de retirer ses propos, le ministre Rodriguez a indiqué vouloir la rencontrer dans les prochains jours. Je comprends que faire face à l’islamophobie, ça va exiger des conversations importantes et parfois difficiles, mais on a besoin de quelqu’un qui s’y connaît, qui est ancré à fond et je sais que c’est la bonne personne. Je n'en reviens pas que M. « Elle ne s'est pas excusée. Lametti, laissant entendre que les explications apportées n'ont pas été suffisantes.
Le PQ réclame la démission d'Amira Elghawaby ... La nomination d'Amira Elghawaby crée des remous à Québec et à Ottawa. Jacques Boissinot La Presse canadienne La ...
« Demander des démissions à tout vent, ce n’est pas mon style », a-t-il fait valoir. [Parti libéral du Québec](https://www.ledevoir.com/parti-liberal-du-Quebec?utm_source=recirculation&utm_medium=hyperlien&utm_campaign=corps_texte) (PLQ) Marc Tanguay a réclamé des excuses « claires et franches » de la part d’Amira Elghawaby. « Et si elle ne le fait pas, le gouvernement doit la démettre sans délai », a-t-il affirmé, dans une déclaration écrite. » « Elle a démontré tout au long de ses années de travail une sensibilité, une ouverture et une rigueur dont on a besoin maintenant. Dans un texte d’opinion cosigné avec Bernie Farber en 2019, Mme Elghawaby avait écrit que « la majorité des Québécois semble portée non pas par la primauté du droit, mais par un sentiment antimusulman ».
Au micro de Richard Martineau via QUB radio mardi matin, M. Jedwab dit que madame Elghawaby n'a utilisé qu'une portion du sondage pour «supporter son opposition ...
En réalité, elle ne fait mention que d'un élément de l’étude, soit le 80% des gens qui sont pour la Loi 21 au Québec. • À lire aussi: L’Association d’études canadiennes, qui a commandé le sondage sur l'islamophobie au Québec, confirme que ses données ont été mal utilisées par cette dernière.
Écoutez Paul Arcand décrire comment Justin Trudeau écorche le Québec avec ses nominations et les contrats à la firme à McKinsey jusqu'en... 2100!
On ne peut pas dire que cela ouvre la porte à une réconciliation.» - Besoins énergétiques: «13 barrages comme La Romaine». - Sentences pour les agresseurs sexuels: «Quel est le message?»
Le chef du Bloc québécois, Yves-François Blanchet, rencontrera Amira Elghawaby mercredi à Ottawa. La nouvelle représentante fédérale de la lutte contre ...
À la suite de la publication de l’article de La Presse, le premier ministre Justin Trudeau lui avait demandé de clarifier ses propos. Dans une chronique publiée en juillet 2019 dans le quotidien Ottawa Citizen, Amira Elghawaby écrivait que « la majorité des Québécois semblent influencés non pas par la primauté du droit, mais par un sentiment antimusulman ». Il dénonçait la Loi sur la laïcité de l’État (loi 21) qui interdit le port de signes religieux aux employés de l’État en position d’autorité, y compris les enseignants. La nouvelle représentante fédérale de la lutte contre l’islamophobie a soulevé la controverse pour avoir déjà écrit que la « majorité des Québécois » semblaient « influencés par un sentiment antimusulman ». « Je veux d’abord la rencontrer pour qu’elle essaie de m’expliquer ce qu’il y a de nouveau dans sa vision de la relation entre la laïcité et l’islamophobie, ce qui pour moi n’existe somme toute pas », avait affirmé M. La chroniqueuse avait notamment fait le lien dans le Toronto Star en 2013 entre les Québécois et une citation tirée du livre A Fair Country de John Raltson Saul où il décrivait dans le monde occidental du 19e siècle « la crainte de la perte de pureté – sang pur, race pure, traits et valeurs nationaux purs et liens.
La nouvelle représentante fédérale de la lutte contre l'islamophobie pourra-t-elle rester en poste? Justin Trudeau a réitéré sa confiance à l'endroit ...
Le premier ministre a vertement dénoncé la décision d'Ottawa de maintenir en poste sa représentante spéciale pour la lutte contre l'islamophobie.
- Québec solidaire a toutefois refusé de se prononcer et s’est abstenu au moment du vote. «C’est la rentrée à l’Assemblée nationale et le gouvernement de la CAQ n’a pas de plan clair pour la transition énergétique juste, pour l’école publique, pour la crise dans nos hôpitaux? Le porte-parole de Québec solidaire, Gabriel Nadeau-Dubois, voudrait lui aussi que Mme Elghawaby se rétracte plus clairement, car il juge que ses propos sont «faux» et «blessants». Elle citait alors le philosophe canadien John Ralston Saul. Celui-ci a réitéré qu’il «appuie à 100%» la nomination de Mme Elghawaby annoncée la semaine dernière.
OTTAWA — Le malaise de certains ministres québécois du gouvernement Trudeau était palpable mardi à la suite de la nomination controversée d'Amira Elghawaby ...
Selon lui, «un échange sur l’histoire du Québec et la laïcité sera salutaire pour Mme Elghawaby». Le premier ministre Trudeau lui avait répondu qu’il souhaite «de tout mon coeur» que cette rencontre ait lieu et a assuré qu’il va «certainement (la) faciliter». Blanchet a adopté un ton différent, qualifiant la nomination de «très peu flatteuse pour le Québec». Blanchet avait tendu la main la veille lors de la période des questions en indiquant qu’une rencontre serait utile pour «tenter de comprendre». Et en juin dernier, lors d’une réunion d’un comité sénatorial qui se penchait sur l’islamophobie, elle a soutenu en parlant du projet de loi 21 que les Québécois font «une fixation» sur les minorités religieuses. «C’est à elle de clarifier ce qu’elle a dit, a-t-il ajouté.
Le premier ministre Justin Trudeau a réaffirmé qu'il appuyait «à 100 %» sa nouvelle représentante spéciale pour la lutte contre l'islamophobie.
En 2013, à l’époque de la Charte des valeurs proposée par le Parti québécois de Pauline Marois, Mme Elghawaby avait dans un texte du Toronto Star cité le philosophe canadien John Ralston Saul, qui expliquait que les «civilisations bourgeoises» des «sociétés occidentales» ont «progressivement glissé vers les peurs paranoïaques du XXe siècle». «Peur de quoi? Je ne partage pas cette opinion, mais comme j’ai dit c’est à elle de [les] clarifier». Elle citait alors le philosophe canadien John Ralston Saul. Rappelons qu’entre autres choses, Amira Elghawaby écrivait en 2013 dans le «Toronto Star», à l’époque de la Charte des valeurs, que le «Québec d’aujourd’hui» était, comme les «sociétés occidentales» du XIXe siècle, obsédé par «la peur de la perte de la pureté - du sang pur, de la race pure, des traits et des valeurs et des liens nationaux purs». Son job, son travail, c’est d’ouvrir le dialogue.
«Elle aurait dû être plus nuancée», affirme le président de l'Association d'études canadiennes (AEC), Jack Jedwab. Au micro de Richard Martineau via QUB radio ...
En réalité, elle ne fait mention que d'un élément de l’étude, soit le 80% des gens qui sont pour la Loi 21 au Québec. • À lire aussi: L’Association d’études canadiennes, qui a commandé le sondage sur l'islamophobie au Québec, confirme que ses données ont été mal utilisées par cette dernière.
Elle citait alors le philosophe canadien John Ralston Saul. Pas de changement en vue. Le premier ministre Justin Trudeau persiste et signe, convaincu d'avoir ...
Voici ce que Mme Nicholas a écrit sur son compte Twitter. « Amira Elghawaby. Bochra Manaï. Tamara Thermitus. Même Michaëlle Jean. Un moment donné, il faudrait ...
C’est parce qu’elle est une femme arabe ! C’est parce qu’elle est une femme noire ! C’est parce qu’elle est une femme racisée. Mais tu es une femme racisée ? UNE « FEMME RACISÉE »
Photo: Justin Tang La Presse canadienne « [Amira Elghawaby] a fait référence aux résultats d'un sondage réalisé en 2007 par la firme Léger selon lesquels 59 % ...
Tous les immigrants devraient respecter les lois et règlements du Québec même si cela va à l’encontre de certaines croyances religieuses ou pratiques culturelles ; 2 « Il est nécessaire d’adopter des accommodements à nos lois et règlements pour ne pas obliger les immigrants à aller à l’encontre de leurs croyances religieuses ou pratiques culturelles ». Et pourquoi la dimension autochtone a été alors complètement évacuée de l’enquête Le Journal de Montréal publiait en janvier 2007 un tableau intitulé « L’immigration en 5 minutes », dans lequel les 130 165 membres des « Premières Nations » figuraient parmi les « importantes communautés culturelles du Québec » issues de l’immigration ! Le résultat obtenu fut le suivant : « La très grande majorité des Québécois (83 %) croient que les immigrants devraient respecter les lois et les règlements du Québec, même si cela va à l’encontre de certaines croyances religieuses ou pratiques culturelles. Et 78 % des membres des dites « communautés culturelles » déclaraient se sentir bien accueillis. Ceux et celles qui se disaient fortement racistes étaient fusionnés avec ceux et celles qui se disaient moyennement ou faiblement racistes, d’où le fameux total de 59 %. Or, à l’instar de mes collègues Rachad Antonius et Jean-Claude Icart, chercheurs spécialisés comme moi en sociologie du racisme, ces résultats m’apparaissaient immédiatement suspects.
Le premier ministre Justin Trudeau « vient cautionner le mépris envers les Québécois » en déclarant qu'il « appuie à 100 % Amira Elghawaby », la nouvelle ...
« On va dealer avec », a renchéri le ministre responsable de la Lutte contre le racisme, Christopher Skeete. La représentante fédérale contre l’islamophobie avait ensuite expliqué qu’elle s’était appuyée dans sa chronique sur un sondage Léger qui affirmait que 88 % des Québécois qui avaient une perception négative de l’islam appuyaient la loi 21 sur la laïcité de l’État. On est capable de combattre le racisme, le sexisme et toutes formes de discriminations au Québec sans l’aide du gouvernement fédéral », a affirmé M. Le chef du Bloc québécois, Yves-François Blanchet, rencontrera la représentante fédérale en matière de lutte contre l’islamophobie pour qu’elle clarifie sa pensée. Ce n’est pas une diversion, c’est une question de fierté nationale ». Elle a déjà écrit que la « majorité des Québécois » semblaient « influencés par un sentiment antimusulman ».
OTTAWA — Le malaise de certains ministres québécois du gouvernement Trudeau était palpable mardi à la suite de la nomination controversée d'Amira Elghawaby ...
Selon lui, «un échange sur l’histoire du Québec et la laïcité sera salutaire pour Mme Elghawaby». Le premier ministre Trudeau lui avait répondu qu’il souhaite «de tout mon coeur» que cette rencontre ait lieu et a assuré qu’il va «certainement (la) faciliter». Blanchet a adopté un ton différent, qualifiant la nomination de «très peu flatteuse pour le Québec». Blanchet avait tendu la main la veille lors de la période des questions en indiquant qu’une rencontre serait utile pour «tenter de comprendre». Et en juin dernier, lors d’une réunion d’un comité sénatorial qui se penchait sur l’islamophobie, elle a soutenu en parlant du projet de loi 21 que les Québécois font «une fixation» sur les minorités religieuses. «C’est à elle de clarifier ce qu’elle a dit, a-t-il ajouté.
OTTAWA — Le malaise de certains ministres québécois du gouvernement Trudeau était palpable mardi à la suite de la nomination controversée d'Amira Elghawaby ...
Selon lui, «un échange sur l’histoire du Québec et la laïcité sera salutaire pour Mme Elghawaby». Le premier ministre Trudeau lui avait répondu qu’il souhaite «de tout mon coeur» que cette rencontre ait lieu et a assuré qu’il va «certainement (la) faciliter». Blanchet a adopté un ton différent, qualifiant la nomination de «très peu flatteuse pour le Québec». Blanchet avait tendu la main la veille lors de la période des questions en indiquant qu’une rencontre serait utile pour «tenter de comprendre». Et en juin dernier, lors d’une réunion d’un comité sénatorial qui se penchait sur l’islamophobie, elle a soutenu en parlant du projet de loi 21 que les Québécois font «une fixation» sur les minorités religieuses. «C’est à elle de clarifier ce qu’elle a dit, a-t-il ajouté.