Taux directeur

La Banque du Canada doit annoncer en milieu de matinée, mercredi, sa décision sur les taux d'intérêt.

Selon le rapport, la banque centrale s'attend à ce que l'inflation annuelle ralentisse plus rapidement qu'elle ne l'avait prévu précédemment. La demande excédentaire a donc persisté et continué d'exercer des pressions à la hausse sur les prix.» Après avoir culminé à 8,1 % au cours de l'été, l'inflation annuelle du Canada a régulièrement diminué pour atteindre 6,3 % en décembre. «Le principal risque à la hausse est que l'inflation des prix des services au Canada soit plus tenace que projetée (si les attentes d'inflation et les coûts de la main-d’oeuvre augmentent plus que prévu)», a déclaré la banque centrale. «Le conseil est prêt à relever encore le taux directeur si cela est nécessaire pour ramener l'inflation à la cible de 2 %, et il reste déterminé à rétablir la stabilité des prix pour les Canadiens», a déclaré la banque centrale dans le communiqué annonçant sa décision. Alors que les taux d'intérêt élevés continuent d'affecter l'économie de manière plus générale, la banque centrale s'attend à ce que le marché du travail s'assouplisse dans les mois à venir.

En même temps, la plus faible demande étrangère pèsera probablement sur les exportations. Ce ralentissement global de l'activité permettra à l'offre de ...

Elle s’attend à ce que les prix plus bas de l’énergie, l’amélioration des conditions de l’approvisionnement dans le monde et les effets des taux d’intérêt plus élevés sur la demande entraînent une baisse de l’inflation mesurée par l’indice des prix à la consommation, qui devrait s’établir autour de 3 % au milieu de l’année et retourner à la cible de 2 % en 2024. L’inflation est passée de 8,1 % en juin à 6,3 % en décembre, ce qui reflète la baisse des prix de l’essence et la récente modération des prix des biens durables. La Banque estime que l’économie canadienne a progressé de 3,6 % en 2022, ce qui est légèrement supérieur à la projection d’octobre.

Il s'agissait de la huitième hausse consécutive du taux directeur de la banque centrale, qui tente ainsi de combattre la plus forte inflation observée en ...

Au Canada, l’inflation annuelle est passée de 8,1 % en juin à 6,3 % en décembre. L’inflation annuelle s’est établie à 6,3 % en décembre au Canada. Le taux de financement à un jour se trouvait à 0,25 % en mars dernier.

La Banque du Canada hausse son taux directeur de 25 points de base à 4,5 %, soit une huitième hausse consécutive depuis le mois de mars dernier.

La Banque du Canada va publier le 8 février un compte rendu des discussions de son conseil de direction qui ont mené à la décision d’augmenter le taux directeur pour la huitième fois consécutive. Le gouvernement du Canada va permettre à la Banque du Canada de rembourser les pertes importantes à même ses revenus avec un amendement à sa loi constitutive, a fait savoir mercredi le gouverneur Tiff Macklem en réponse à une question d’un journaliste. La publication des discussions du conseil de direction de la banque, prévue deux semaines après chaque décision sur le taux directeur, permettra de mieux comprendre ces décisions et de rendre le fonctionnement de la banque plus transparent, selon lui. Le gouverneur de la Banque du Canada a fermé cette porte, du moins à court terme. « C’est déjà difficile de trouver du logement abordable […] et ça va encore empirer la situation parce que les hypothèques et les loyers sont élevés à cause des taux d’intérêt élevés », a-t-il affirmé, exhortant les libéraux à investir davantage en logement abordable. L’inflation est passée de 8,1 % en juin à 6,3 % en décembre, mais c’est encore trop élevé, a fait valoir le gouverneur de la Banque du Canada. Les Canadiens qui ont [contracté] des grandes dettes à cause du fait que [Justin] Trudeau a dit que les taux allaient rester bas sont maintenant en crise totale », a-t-il dénoncé en point de presse au parlement. Le retour à la cible de 2 % devra attendre à 2024, prévoit la banque dans son Rapport sur la politique monétaire qui actualise ses prévisions économiques. Elle prévoit une croissance du produit intérieur brut d’environ 1 % en 2023 et de 2 % en 2024, ce qui correspond essentiellement à sa projection d’octobre. « L’économie n’a pas ralenti autant qu’on le pensait, le marché du travail reste tendu et les entreprises continuent d’avoir de la difficulté à trouver du personnel. La prochaine décision de la banque centrale pourrait être une baisse du taux directeur, prévoient Desjardins et d’autres économistes. Le plein effet des hausses de taux est encore à venir, a répété le gouverneur.

La Banque du Canada hausse son taux directeur à 4,50 % pour une 8e fois consécutive depuis mars 2022.

« Ceux qui ont acheté au pic du marché, en avril 2021, et qui ont une hypothèque variable, ce n’est pas drôle pour ces gens-là. « Ce dont les gens ont peur, ce n’est pas le taux d’intérêt comme tel, c’est la hausse. « En ce sens, l’annonce d’aujourd’hui est en quelque sorte positive, puisqu’on sent qu’on arrive à la fin de ces hausses-là. Les gens ont surtout besoin d’être rassurés en ce moment, dit-il. « Mais l’effet total, et l’inflation qui chute, on devrait commencer à voir ça à l’automne. « Parfois, la foire pogne dans la maison. À ce taux, on ne crée pas trop d’inflation et on ne la combat pas non plus. Le scénario de base de la BdC est le suivant, explique-t-il. « On passe toute l’année avec un taux à 4,5 %, et on recommence à baisser en 2024, quand on peut dire avec confiance : mission accomplie, l’inflation est maîtrisée. « Ça fait très mal au portefeuille et c’est plus compliqué. « Je commence à trouver ça dur. Franchement, ça commence à coûter cher.

La Banque du Canada a décidé qu'une autre augmentation des taux d'intérêt est nécessaire pour ralentir l'inflation et annonce une hausse de 25 points de ...

La Banque du Canada va publier le 8 février un compte rendu des discussions de son conseil de direction qui ont mené à la décision d’augmenter le taux directeur pour la huitième fois consécutive. Le gouvernement du Canada va permettre à la Banque du Canada de rembourser les pertes importantes à même ses revenus avec un amendement à sa loi constitutive, a fait savoir mercredi le gouverneur Tiff Macklem en réponse à une question d’un journaliste. La publication des discussions du conseil de direction de la banque, prévue deux semaines après chaque décision sur le taux directeur, permettra de mieux comprendre ces décisions et de rendre le fonctionnement de la banque plus transparent, selon lui. Le gouverneur de la Banque du Canada a fermé cette porte, du moins à court terme. « C’est déjà difficile de trouver du logement abordable […] et ça va encore empirer la situation parce que les hypothèques et les loyers sont élevés à cause des taux d’intérêt élevés », a-t-il affirmé, exhortant les libéraux à investir davantage en logement abordable. L’inflation est passée de 8,1 % en juin à 6,3 % en décembre, mais c’est encore trop élevé, a fait valoir le gouverneur de la Banque du Canada. Les Canadiens qui ont [contracté] des grandes dettes à cause du fait que [Justin] Trudeau a dit que les taux allaient rester bas sont maintenant en crise totale », a-t-il dénoncé en point de presse au parlement. Le retour à la cible de 2 % devra attendre à 2024, prévoit la banque dans son Rapport sur la politique monétaire qui actualise ses prévisions économiques. Elle prévoit une croissance du produit intérieur brut d’environ 1 % en 2023 et de 2 % en 2024, ce qui correspond essentiellement à sa projection d’octobre. « L’économie n’a pas ralenti autant qu’on le pensait, le marché du travail reste tendu et les entreprises continuent d’avoir de la difficulté à trouver du personnel. La prochaine décision de la banque centrale pourrait être une baisse du taux directeur, prévoient Desjardins et d’autres économistes. Le plein effet des hausses de taux est encore à venir, a répété le gouverneur.

D'autre part, la banque centrale publiera également mercredi son rapport trimestriel sur la politique monétaire, qui proposera des projections actualisées de la ...

«S’occuper de l’économie, ce n’est pas de laisser les clés de notre situation économique au fédéral sans se poser de questions, le gouvernement du Québec se doit d’être proactif même si c’est une compétence fédérale. [L'inflation annuelle s'est établie à 6,3 %](https://www.noovo.info/nouvelle/lindice-des-prix-a-la-consommation-setablit-a-6-3-.html) en décembre au Canada, une amélioration notable par rapport au mois précédent, mais le taux reste néanmoins beaucoup plus élevé que ce que voudrait la Banque du Canada. Par ailleurs, la banque centrale estime que l'économie a progressé de 3,6 % en 2022, ce qui est légèrement supérieur à sa projection d'octobre. Le taux de financement à un jour se trouvait à 0,25 % en mars dernier. «Le principal risque à la hausse est que l'inflation des prix des services au Canada soit plus tenace que projeté (si les attentes d'inflation et les coûts de la main-d'œuvre augmentent plus que prévu)», a déclaré la banque centrale. La banque centrale a précisé que si l'évolution de l'économie se révélait généralement conforme à ses perspectives, son conseil de direction s'attendait à maintenir le taux directeur à son niveau actuel, le temps d'évaluer l'impact des augmentations cumulatives de taux d'intérêt.

La banque centrale du Canada a relevé mercredi son principal taux directeur de 0,25 point, à 4,5%, soit la huitième hausse consécutive en moins d'un an...

La banque centrale a indiqué mercredi qu'elle pensait «maintenir son taux directeur actuel» à ce niveau le temps d'évaluer «l'incidence des augmentations cumulatives de taux d'intérêt». Selon ses nouvelles prévisions, l'institution s'attend à ce que l'inflation diminue «considérablement» cette année, alors qu'elle affichait en décembre un taux encore trois fois supérieur à son objectif de 2%. Il s'agit de son plus haut taux depuis 2007.

Des investisseurs parient que la hausse de taux de la Fed prévue la semaine prochaine sera la dernière. La Banque du Canada marque une pause: exemple à ...

La Banque du Canada a relevé mercredi son taux d'intérêt directeur de 25 points de base pour le porter à 4,50 %, un sommet depuis 2007, ...

Au Canada, l’inflation annuelle est passée de 8,1 % en juin à 6,3 % en décembre. L’inflation annuelle s’est établie à 6,3 % en décembre au Canada. Le taux de financement à un jour se trouvait à 0,25 % en mars dernier.

La Banque du Canada hausse son taux directeur à 4,50 % pour une 8e fois consécutive depuis mars 2022.

« Ceux qui ont acheté au pic du marché, en avril 2021, et qui ont une hypothèque variable, ce n’est pas drôle pour ces gens-là. « Ce dont les gens ont peur, ce n’est pas le taux d’intérêt comme tel, c’est la hausse. « En ce sens, l’annonce d’aujourd’hui est en quelque sorte positive, puisqu’on sent qu’on arrive à la fin de ces hausses-là. Les gens ont surtout besoin d’être rassurés en ce moment, dit-il. « Mais l’effet total, et l’inflation qui chute, on devrait commencer à voir ça à l’automne. « Parfois, la foire pogne dans la maison. À ce taux, on ne crée pas trop d’inflation et on ne la combat pas non plus. Le scénario de base de la BdC est le suivant, explique-t-il. « On passe toute l’année avec un taux à 4,5 %, et on recommence à baisser en 2024, quand on peut dire avec confiance : mission accomplie, l’inflation est maîtrisée. « Ça fait très mal au portefeuille et c’est plus compliqué. « Je commence à trouver ça dur. Franchement, ça commence à coûter cher.

La Banque du Canada augmente son taux directeur de 25 points de base, à 4,5 %, et annonce une pause pour évaluer l'impact de l'augmentation rapide des taux ...

La Banque du Canada va publier le 8 février un compte rendu des discussions de son conseil de direction qui ont mené à la décision d’augmenter le taux directeur pour la huitième fois consécutive. Le gouvernement du Canada va permettre à la Banque du Canada de rembourser les pertes importantes à même ses revenus avec un amendement à sa loi constitutive, a fait savoir mercredi le gouverneur Tiff Macklem en réponse à une question d’un journaliste. La publication des discussions du conseil de direction de la banque, prévue deux semaines après chaque décision sur le taux directeur, permettra de mieux comprendre ces décisions et de rendre le fonctionnement de la banque plus transparent, selon lui. Le gouverneur de la Banque du Canada a fermé cette porte, du moins à court terme. « C’est déjà difficile de trouver du logement abordable […] et ça va encore empirer la situation parce que les hypothèques et les loyers sont élevés à cause des taux d’intérêt élevés », a-t-il affirmé, exhortant les libéraux à investir davantage en logement abordable. L’inflation est passée de 8,1 % en juin à 6,3 % en décembre, mais c’est encore trop élevé, a fait valoir le gouverneur de la Banque du Canada. Les Canadiens qui ont [contracté] des grandes dettes à cause du fait que [Justin] Trudeau a dit que les taux allaient rester bas sont maintenant en crise totale », a-t-il dénoncé en point de presse au parlement. Le retour à la cible de 2 % devra attendre à 2024, prévoit la banque dans son Rapport sur la politique monétaire qui actualise ses prévisions économiques. Elle prévoit une croissance du produit intérieur brut d’environ 1 % en 2023 et de 2 % en 2024, ce qui correspond essentiellement à sa projection d’octobre. « L’économie n’a pas ralenti autant qu’on le pensait, le marché du travail reste tendu et les entreprises continuent d’avoir de la difficulté à trouver du personnel. La prochaine décision de la banque centrale pourrait être une baisse du taux directeur, prévoient Desjardins et d’autres économistes. Le plein effet des hausses de taux est encore à venir, a répété le gouverneur.

Des calculs effectués montrent à quel point les hausses de taux ont un impact sur le budget des ménages.

Il y a des clients qui voudraient aller vers un taux variable à la base, mais à cause de la qualification devront se tourner vers un taux fixe. Ça prend du temps afin de voir les effets d’une hausse de taux d’intérêt. [...] Et ce n’est pas seulement, on augmente les taux et automatiquement les gens consomment moins. Ils me disent : on va attendre que les taux baissent. Avec un taux variable de 5,30 % amorti sur 25 ans, son versement hypothécaire mensuel est actuellement de 2549 $. Des calculs effectués par la firme Ratehub montrent à quel point le portrait est différent en incluant la

« Nous nous attendons à maintenir le taux directeur au niveau actuel pendant que nous évaluerons l'incidence de son augmentation cumulative de 425 points de ...

Nous pouvons nous attendre à ce que le taux de chômage augmente », a déclaré l’ancienne sous-gouverneure de la Banque du Canada et chercheuse principale au Griswold Center for Economic Policy Studies de l’Université Princeton, Carolyn A. Dans un rapport rédigé par l’ancien gouverneur de la Banque du Canada, David Dodge, et l’ancien conseiller libéral en politique financière, Robert Asselin, on évoque une « forte probabilité d’une récession plus grave » cette année. Ils ajoutent que la banque centrale pourrait être surprise par la rapidité du retour de l’inflation à la cible, qu’ils voient quelque part au second semestre de 2023. « Le bas niveau de confiance des consommateurs et la diminution de la richesse des ménages […] restreindront aussi les dépenses », poursuit le rapport. Pour la firme de recherche, l’économie canadienne en est déjà aux premiers stades de la [récession](https://www.ledevoir.com/recession?utm_source=recirculation&utm_medium=hyperlien&utm_campaign=corps_texte). Nous avons haussé les taux rapidement, et il est maintenant temps de faire une pause pour déterminer si la politique monétaire est assez restrictive pour ramener l’

La Banque du Canada augmente son taux directeur de 25 points de base, à 4,5 %, et annonce une pause pour évaluer l'impact de l'augmentation rapide des taux ...

La Banque du Canada va publier le 8 février un compte rendu des discussions de son conseil de direction qui ont mené à la décision d’augmenter le taux directeur pour la huitième fois consécutive. Le gouvernement du Canada va permettre à la Banque du Canada de rembourser les pertes importantes à même ses revenus avec un amendement à sa loi constitutive, a fait savoir mercredi le gouverneur Tiff Macklem en réponse à une question d’un journaliste. La publication des discussions du conseil de direction de la banque, prévue deux semaines après chaque décision sur le taux directeur, permettra de mieux comprendre ces décisions et de rendre le fonctionnement de la banque plus transparent, selon lui. Le gouverneur de la Banque du Canada a fermé cette porte, du moins à court terme. « C’est déjà difficile de trouver du logement abordable […] et ça va encore empirer la situation parce que les hypothèques et les loyers sont élevés à cause des taux d’intérêt élevés », a-t-il affirmé, exhortant les libéraux à investir davantage en logement abordable. L’inflation est passée de 8,1 % en juin à 6,3 % en décembre, mais c’est encore trop élevé, a fait valoir le gouverneur de la Banque du Canada. Les Canadiens qui ont [contracté] des grandes dettes à cause du fait que [Justin] Trudeau a dit que les taux allaient rester bas sont maintenant en crise totale », a-t-il dénoncé en point de presse au parlement. Le retour à la cible de 2 % devra attendre à 2024, prévoit la banque dans son Rapport sur la politique monétaire qui actualise ses prévisions économiques. Elle prévoit une croissance du produit intérieur brut d’environ 1 % en 2023 et de 2 % en 2024, ce qui correspond essentiellement à sa projection d’octobre. « L’économie n’a pas ralenti autant qu’on le pensait, le marché du travail reste tendu et les entreprises continuent d’avoir de la difficulté à trouver du personnel. La prochaine décision de la banque centrale pourrait être une baisse du taux directeur, prévoient Desjardins et d’autres économistes. Le plein effet des hausses de taux est encore à venir, a répété le gouverneur.