Il y un autre héros de cette coupe du monde : c'est la pelouse de ce Mondial au Qatar. Des chercheurs américains lui prédisent aussi un bel avenir.
Comme le maïs est une plante de la même famille que cette herbe, ces chercheurs ont tenté une expérience : en sélectionnant des semis de maïs, qui ont les mêmes points forts génétiques que le paspalum. À l'issue de cette compétition, on peut aussi applaudir la paspalum vaginatum, le nom scientifique de cette herbe qui a été sélectionnée tout particulièrement pour les pelouses de la Coupe du monde 2022 au Qatar. Il y un autre héros de cette coupe du monde : c’est la pelouse de ce Mondial au Qatar.
We've received more than half a million photographs during the tournament – with 30000 from the World Cup final alone. Our picture editor has selected his ...
DOHA, Qatar (AP) — When it comes to soccer, money can buy the world.
But they ultimately backed down when FIFA threatened to issue yellow cards to the players involved, saying it was a contravention of its regulations. By Sunday’s final, the narrative was fixed on Messi’s mission to emulate Argentina great Diego Maradona by leading his country to a World Cup title. “Obviously, I wanted to complete my career with this, (I) can’t ask for more.” The committee later said he was referring to work-related deaths from 2014-2020, not specifically for the World Cup. “Qatar wants to be a hub for global sporting and cultural events, and so should know that scrutiny will continue,” Cockburn said. “For me, football makes people dream and children in particular,” Morocco coach Walid Regragui said. Messi was beaming with pride as he tenderly kissed the cup of solid gold. And it can bundle them all up into a perfect package and present it to a global audience of millions. “I think Qatar will benefit from this going forward. “The match was completely insane,” Argentina coach Lionel Scaloni said afterwards. “Hosting the World Cup has brought far more attention on the treatment of migrant workers in Qatar and the rest of the Gulf than would otherwise have been the case, as well as the responsibility of sporting bodies such as FIFA.” And the world’s best players.
Après le Mondial 2022, terminé dimanche, le Qatar, qui se veut « leader mondial dans le domaine du sport », vise les Jeux olympiques en 2036.
La première incursion notable de l’émirat dans les grands événements sportifs remonte aux Jeux asiatiques en 2006. Comme pour le Mondial, décalé à l’automne pour éviter les chaleurs accablantes de l’été, des JO dans l’émirat nécessiteraient certainement un changement de date. « Mais pour combien de temps ?
But on Sunday night, as the fireworks filled the sky above Lusail, as the Argentina fans sang and their star, Lionel Messi, beamed while clasping a trophy he ...
Dressed in sky blue and white stripes, they converged on the Lusail Stadium, creating the type of authentic World Cup atmosphere – bouncing and singing throughout 120 minutes of play, and then long afterward – that no amount of Qatari wealth could buy. That group, largely drawn from countries like India, Bangladesh and Nepal, was the most visible face of Qatar to the estimated 1 million visitors who traveled to the tournament. In the stands, the backdrop was a curious one, with several games appearing short of supporters and then mysteriously filling up in the minutes after kickoff, when gates were opened to grant spectators – many of them the South Asian migrants – entry free of charge. Backed by seemingly bottomless financial resources to fuel its ambitions, Qatar embarked on a project that required nothing less than the building, or rebuilding, of its entire country in service to a monthlong soccer tournament. And as if to make sure, to put the nation’s final imprint on the first World Cup in the Middle East, Qatar’s emir, Sheikh Tamim bin Hamad al-Thani, stopped a beaming Messi as he made his way to collect the biggest trophy in the sport and pulled him back. The spectacular denouement – a dream final pitting Argentina against France; a first World Cup title for Messi, the world’s best player; a pulsating match settled after six goals and a penalty shootout – made sure of that.
Le Qatar entend diversifier son économie gazière à l'horizon 2030 grâce au sport et au tourisme, et étudie une nouvelle campagne pour 2036 en utilisant la Coupe ...
Le Qatar n'est pas le seul à vouloir présenter les JO. Et le CIO cherche justement à limiter les coûts de l'organisation des JO. En raison des chaleurs accablantes de l'été, des JO dans l'émirat nécessiteraient certainement un changement de date par rapport à la plage traditionnelle de fin juillet. Parmi ces investissements, il y a cette idée extravagante : le Qatar serait prêt à climatiser le parcours du marathon! Le Qatar présentera dans un avenir proche de grands événements sportifs : la prochaine Coupe d'Asie de soccer, les championnats du monde de natation en 2024, les mondiaux de tennis de table en 2025 et les Jeux asiatiques en 2030. Il ne les aura pas, si on se fie aux commentaires venant du CIO.
Si la Coupe du Monde de football 2022 a in fine permis de célébrer le sport et de donner une image de marque respectable pour le pays après des années de ...
En revanche, Doha 2016 était apparue en retard sur le plan de l’hébergement – un critère également pointé du doigt lors de la Coupe du Monde 2022 – avec des notes en dessous de Chicago, Tokyo et Madrid (5,5 à 7,7). Il faut dire que le CIO présidé à l’époque par Jacques Rogge, avait encore en mémoire le souvenir chaotique de l’organisation et surtout de l’héritage des Jeux d’Athènes 2004. Néanmoins, en juin 2008, la Commission Exécutive du CIO avait préféré sélectionner à l’unanimité les candidatures de Chicago, Tokyo, Rio de Janeiro et Madrid, écartant de facto Doha, mais aussi Prague (République Tchèque) et Bakou (Azerbaïdjan). Concernant l’infrastructure générale – incluant les transports et les télécommunications – Doha 2016 était également en bonne position (5,5 à 7,5) rivalisant en cela avec Chicago (5,5 à 7,4), mais restant en deçà de Tokyo (7,6 à 8,9) et Madrid (7,9 à 8,9). Concernant cette fois le budget d’organisation des Jeux, Doha 2016 avait évoqué une participation à hauteur de 60% par les pouvoirs publics, et de 40% par le biais d’investissements privés. Les valeurs olympiques seront l’étincelle qui encouragera l’unité sociale, la participation et le développement. En outre, la dimension des Jeux étant autrement différente de celle d’une Coupe du Monde, le challenge organisationnel sera décuplé, alors que la Grèce demeure à ce jour le plus petit pays à avoir organisé les Jeux modernes avec les défaillances constatées en 2004 et surtout après. Ces valeurs essentielles, avec leur accent sur le sport, seront le modèle du développement de Doha et sa région. A cela s’ajoute aussi la problématique du calendrier des Jeux, avec inévitablement un positionnement en fin d’année, comme pour la Coupe du Monde de football 2022. Sur ce package global, pas moins de 44 millions de dollars auraient été apportés par le gouvernement du Qatar et seulement 4 millions par le secteur privé. Comme il s’agira de la première édition des Jeux Olympiques en terre arabophone, Doha 2016 rendra hommage à l’esprit olympique en y ajoutant une touche d’originalité. Les pays arabes sont en pleine mutation.
Après le Mondial-2022, terminé dimanche, le Qatar, qui se veut « leader mondial dans le domaine du sport », vise les Jeux olympiques en 2036.
La première incursion notable de l’émirat dans les grands évènements sportifs remonte aux Jeux asiatiques en 2006. Comme pour le Mondial, décalé à l’automne pour éviter les chaleurs accablantes de l’été, des JO dans l’émirat nécessiteraient certainement un changement de date. « Mais pour combien de temps ?
A l'image du Mondial de football et des JO d'hiver, l'impact écologique des grandes compétitions sportives ne pourra pas être réduit sans révolutionner leur ...
Christophe Lepetit abonde : « Les GES, au contraire de la pratique sportive, ne relèvent d’aucune nécessité impérieuse ». « Il faut s’autoriser à imaginer des événements différents, en se demandant ce qu’on cherche de fondamental en eux : la rencontre entre les peuples, la communion par les émotions, le partage, etc., insiste Maël Besson. Les organisateurs de l’Euro 2016 en France avaient estimé à 80 % la part des émissions totales dues à la construction des infrastructures. Or dans les moments de crise, on dépriorise le sport, et il lui faudra inévitablement s’adapter. « Le CIO arrête le gigantisme pour réduire les coûts économiques, pas pour des raisons écologiques. Certains plaident en faveur de sites olympiques fixes, qui accueilleraient les olympiades à tour de rôle. La co-organisation par plusieurs pays s’impose de plus en plus : elle a l’avantage de limiter les dépenses d’infrastructures, mais elle étire les distances parcourues par les équipes et les supporters. L’hôte devrait ainsi avoir enregistré « des températures minimales moyennes inférieures à zéro degré, aux dates des Jeux, sur une période de dix ans ». Cela a permis à Paris 2024 d’imaginer des Jeux plus sobres sur le plan des constructions », illustre Maël Besson. Malgré la crise écologique, les pouvoirs sportifs internationaux ne renoncent pas à leur quête de croissance. Il est, certes, possible de limiter l’un des deux principaux postes de coût environnemental, la construction des équipements, en privilégiant ceux qui existent déjà, ou en s’assurant de leur utilité postérieure. L’édition 2026 du Mondial se dispersera entre le Canada, les Etats-Unis et le Mexique.