L'homme de 92 ans a été trouvé coupable en juillet 2020 d'avoir commis des attouchements sexuels dans les années 1970 sur son jeune voisin, un adolescent qui ...
Le neurologue conclut qu’il est « inapte » et qu’il sera incapable de suivre les directives restrictives de la prison. Selon lui, le juge qui lui avait imposé la peine a commis de nombreuses erreurs de droit. Il a plutôt concentré ses efforts à contester la peine de [six mois de prison qui lui a été imposée en 2021](https://www.ledevoir.com/societe/628503/edgar-fruitier-devra-passer-six-mois-en-prison-pour-avoir-agresse-un-adolescent?utm_source=recirculation&utm_medium=hyperlien&utm_campaign=corps_texte).
Fruitier, 92 ans, contestait sa condamnation en lien avec des attentats à la pudeur sur un adolescent, alors que l'accusé était âgé dans la quarantaine. Le ...
Il a commis des gestes similaires, à deux autres reprises, en 1976, à son domicile de Brossard, où le jeune homme avait été embauché pour faire du ménage. Il lui avait même offert de l’héberger à son chalet, là où la première agression a eu lieu. Fruitier, 92 ans, contestait sa condamnation en lien avec des attentats à la pudeur sur un adolescent, alors que l’accusé était âgé dans la quarantaine.
Reconnu coupable l'an dernier d'attentat à la pudeur pour des gestes posés dans les années 1970, l'ancien comédien Edgar Fruitier devra prendre le chemin de ...
Cette décision récente de la Cour suprême vise à protéger les enfants en durcissant notamment les peines à l’égard des agresseurs d’enfants. L’artiste a mis la main sur le pénis d’un adolescent à trois occasions en 1974 et en 1976, alors que le garçon avait 15, puis 17 ans, geste pour lequel il a été condamné à une peine d’emprisonnement de six mois. Or, un adolescent de moins de 18 ans est malgré tout considéré comme un enfant dans le sens de l’arrêt Friesen, ont tranché les juges de la Cour d’appel.
L'homme de théâtre Edgar Fruitier a été débouté en appel et il devra purger six mois de prison pour des crimes sexuels commis dans les années 70.
« Ce n’est pas un vain mot dire que le jugement sur la peine prononcée contre l’appelant est fouillé, a renchéri la Cour d’appel, lundi. Selon la preuve retenue contre lui, Fruitier avait offert à l’adolescent de l’héberger à son chalet, là où la première agression a eu lieu. Alors âgé de 44 ans, Fruitier avait attrapé les parties génitales de l’adolescent de 15 ans.