New data reveals Canada Revenue Agency has gone after very few companies for abusing a COVID wage subsidy program that acted as “massive wealth transfer”
“As with any compliance audit program, the less intricate audits are generally among the first to be concluded and more complex cases take longer.” “The government could do a rigorous analysis of how many jobs were saved.” “There was no requirement that the subsidy be used to subsidize wages.” “If CEWS funds are not saving many jobs, that means they end up instead in business revenues, and maybe even profits.” There was nothing criminal about taking the money and laying off workers and paying your executives.” “Audits are on-going and cases pertaining to anti-avoidance penalties and promoter penalties can be challenging and time-consuming,” the spokesperson said. But the so-called “executive compensation repayment rule” was convoluted and applied to only a fraction of the recipients over a narrow period of time, Macdonald said. “That’s outside the scrutiny of the public, but not the government,” he said. “There was a big gap between the ‘letter of the law’ and the ‘spirit of the law,” Macdonald said. “The CRA can go after a business that was intentionally fraudulent and made up employees in order to get the subsidy. Although Finance Minister Chrystia Freeland told the House of Commons finance committee in March 2021 that “legally, the wage subsidy can only be used to pay employees” and that “it can’t be used for any other purposes,” no such restriction actually existed. “The absurdly low number of companies penalized for misuse is either evidence of how poorly designed the program was, or evidence that the government has chosen to just laugh off the misuse,” said D.T. Cochrane, an economist with Canadians for Tax Fairness.
L'engagement climatique est clair : autant à Québec qu'à Ottawa, on souhaite interdire la vente de voitures à essence neuves dès 2035.
Le problème, avec les camions lourds et les grandes distances à franchir, c’est que l’objectif est de transporter des marchandises, et pas de transporter des batteries. Car s’il est vrai qu’il en coûte moins cher pour recharger une batterie que pour faire le plein, les gouvernements pourraient y perdre au change, et devoir se rabattre sur une autre forme de taxation qui viendrait annuler une partie de l’avantage des véhicules électriques, juge Carol Montreuil. Et donc, les camions [électriques] ne font que transporter un tas de kilos de batteries et deviennent extrêmement inefficaces. Ce qui signifie, bien entendu, qu’il faudra continuer à remplir le réservoir pour se déplacer, ce qui signifie maintenir des stations-service en activité. Je ne pense pas que les conducteurs de véhicules électriques voudront aller dans une station-service convertie pour recharger les batteries de leur voiture. Et ça, on pense que cela donnera une deuxième vie à bien des stations-service en activité, aujourd’hui. Cet État, faut-il le rappeler, est régulièrement en proie à d’immenses feux de forêt qui vont parfois jusqu’à ravager des villes entières. Les sécheresses sont aussi monnaie courante. Pour cette raison, nous avons voté, en majorité, en faveur de ce projet. C’est ainsi le cas de Petaluma, une petite ville située au nord-ouest de San Francisco, en Californie. Un changement nécessaire, dit M. Beaudry, puisqu’il ne sera pas possible d’installer toutes les bornes de recharge nécessaires directement sur les trottoirs montréalais. Cependant, ces endroits appartiennent au privé. À partir du moment où cela sera vendu, nous aurons l’occasion de l’acquérir. Nous ne sommes cependant pas dans une logique d’expropriation. » Pourtant, aucun ordre de gouvernement ne propose de plan concret pour envisager l’avenir d’un type de bâtiment aussi oubliable qu’omniprésent : les stations-service.