Toujours présente dans le cirque de la F1, Agnes Carlier a vécu cette époque, ayant longtemps travaillé comme attachée de presse pour Philip Morris, qui ...
Attachée de presse dans des cabinets ministériels français, Mme Carlier a fait le saut en F1 pour passer plus de temps avec son mari, qui était directeur des sports du Parisien et auteur du Livre d’or de la F1. « On s’est rencontrés à Roland-Garros en 1974 et après quelques années, mon mari m’a dit que je devrais regarder pour un travail dans le milieu du sport sinon on ne serait plus en mesure de se voir. Le téléphone a rapidement sonné. « Craig Pollock m’a invitée à me joindre à l’écurie BAR, qui débutait ses activités. C’est un conte de fées de pouvoir tout concevoir à partir de zéro. On n’avait pas de pneus, de moteur et de pilote. C’était le moment de quitter.