Le film Les oiseaux ivres a survolé le Gala Québec Cinéma en raflant 10 prix Iris dont ceux du meilleur film et de la meilleure réalisation.
Passé un peu inaperçu au moment de sa sortie en salle, en septembre dernier, ce premier long métrage du cinéaste et musicien irano-canadien Kaveh Nabatian est sorti de l’ombre dimanche soir en remportant l’Iris du meilleur premier film. Bien représentée avec six nominations, la comédie Aline, librement inspirée de la vie de Céline Dion, est finalement repartie bredouille. Sur scène, Marie-Julie Dallaire a tenu à remercier le regretté cinéaste Jean-Marc Vallée qui parrainé le film à titre de producteur exécutif. « Jean-Marc, tu n’as pas idée du cadeau que tu nous a fait en t’associant à notre projet. En fin de soirée, l’actrice semblait sous le choc quand elle est remontée sur scène pour cueillir le prix de la meilleure interprétation féminine dans un premier rôle pour son personnage d’agricultrice dans Les oiseaux ivres. Même si elle s’est fait voler la vedette par Les oiseaux ivres, Maria Chapdelaine n’est pas repartie bredouille. On savait que ça se jouerait entre Les oiseaux ivres et Maria Chapdelaine, qui avaient récolté respectivement 17 et 16 nominations.
Les artisans du film Les oiseaux ivres ont dû sabler le champagne dimanche soir après le Gala Québec Cinéma. En effet, avec dix prix Iris, dont celui du ...
Les festivités se sont révélées, dans l’ensemble, élégantes et sobres (superbe numéro d’ouverture), moins enclines à tout vouloir enrober d’humour forcé comme l’an dernier — quoique. Enfin, le choix de l’Iris du meilleur premier long métrage s’est porté sur Sin La Habana, de Kaveh Nabatian. Tu voulais que tout le monde voie ce film. C’est dire qu’on ne peut que se réjouir du résultat des courses, puisqu’au sein d’un cru remarquable, Les oiseaux ivres s’imposait comme une œuvre d’exception, tant sur le plan narratif que visuel. Déjà lors du Gala des artisans tenu en amont, Les oiseaux ivres avait récolté cinq prix. Les artisans du film Les oiseaux ivres ont dû sabler le champagne dimanche soir après le Gala Québec Cinéma. En effet, avec dix prix Iris, dont celui du meilleur long métrage de fiction, ce récit lumineux, poétique, politique et romantique à propos d’un travailleur migrant et de ses patrons, a régné presque sans partage.
Avec 10 trophées Iris, dont ceux attribués au meilleur film, à la meilleure réalisation et au meilleur scénario, Les oiseaux ivres, d'Ivan Grbovic, ...
Animé par Geneviève Schmidt pour la deuxième année consécutive, ce 24e Gala Québec Cinéma ne passera pas à l’histoire, mais on retiendra néanmoins ce coup de chapeau sobre et sensible à trois grands disparus, Jean-Marc Vallée, Jean-Claude Lord et Rock Demers. Célébrée au Gala des artisans plus tôt dans la journée, Louise Portal, dont on souligne les 50 ans de cinéma, a de son côté eu droit à une belle ovation de la part des professionnels et du public. « Je n’ai jamais tenu un enfant dans mes bras, mais celui-là, il pèse tout son poids d’amour, a déclaré l’actrice, visiblement émue. Mes rôles et mes livres auront été mes enfants. Il est à noter que le cinéaste avait reçu le même prix il y a cinq ans, grâce à 1 : 54. Cela ne s’était encore jamais vu dans l’histoire du Gala Québec Cinéma. Il y avait déjà eu au fil des ans, mais très rarement, des acteurs cités deux fois la même année dans les catégories d’interprétation – Luc Picard en 2002 et Robin Aubert en 2020, notamment –, mais jamais encore deux prix d’interprétation n’avaient été remis le même soir à une seule et même personne. Norbourg est un tabarouette de bon film, mais il rappelle aussi que des gens se sont fait voler leur vie. Même si Les oiseaux ivres a dominé la soirée, quelques autres productions ont quand même pu s’inscrire au tableau d’honneur. Maria Chapdelaine a été primé dans quatre catégories. En plus de l’Iris attribué à Hélène Florent dans la catégorie de la meilleure actrice de soutien, le très beau film de Sébastien Pilote a valu à Sara Montpetit, l’interprète de Maria, le prix de la révélation de l’année, en plus de se distinguer grâce aux costumes (Francesca Chamberland) et aux coiffures (Martin Lapointe).
Le film Les oiseaux ivres de Ivan Grbovic a triomphé dimanche soir au 24e Gala Québec Cinéma en remportant dix Iris, dont celui du meilleur film.
Hélène Florent a remporté deux Iris en une soirée, une première dans l’histoire du gala. Le comédien n’était pas présent pour recevoir son prix, mais avait enregistré un message de remerciements. Également pour son rôle dans Les oiseaux ivres, Claude Legault s’est vu décerné l’Iris du meilleur acteur dans un rôle de soutien.
Le film Les oiseaux ivres a remporté les grands honneurs, dimanche, au 24e gala Québec cinéma. Sacré meilleur film, le long métrage d'Ivan Grbovic a récolté ...
Annie St-Pierre Les grandes claques – Annie St-Pierre Sin La Habana de Kaveh Nabatian a été sacré meilleur premier film.
La soirée animée par Geneviève Schmidt couronne les artisans du cinéma s'étant illustrés cette année.
Au chapitre des gagnants, notons que Hélène Florent a été récompensée pour une performance de soutien dans le film Maria Chapdelaine. Elle a récidivé plus tard ...
Marina Orsini, Danielle Proulx et Vincent Bolduc sont d'ailleurs venus parler de Jean-Claude Lord, Rock Demers et Jean-Marc Vallée, partis trop tôt. On a aussi rendu hommage à Louise Portal pendant l'événement, avec des extraits de ses présences au cinéma. Celle-ci s'est montrée très émue par cet hommage de la communauté artistique, soulignant ses 50 ans de carrière. Le prix du meilleur film a finalement été remis au long métrage Les oiseaux ivres, qui a cumulé ce soir 10 prix Iris, incluant le Gala des Artisans. C'est ce dimanche 5 juin que journalistes et photographes, ainsi que le public, étaient conviés pour un Gala Québec Cinéma, récompensant le meilleur de notre 7e art.
Le milieu cinématographique québécois s'est réuni pour célébrer nos films et nos talents lors du 24e GALA QUÉBEC CINÉMA...
Le film LES GRANDES CLAQUES de Annie St-Pierre a gagné le prix du meilleur court métrage de fiction. Le film a également obtenu les Iris de la meilleure direction de la photographie Le film LES FILS de Manon Cousin a remporté l’Iris du meilleur son Finalement, NORBOURG de Maxime Giroux, SIN LA HABANA de Kaveh Nabatian et BOOTLEGGER de Caroline Monnet ont remporté chacun 1 prix Iris : l’acteur Vincent-Guillaume Otis est reparti avec l’Iris de la meilleure interprétation masculine premier rôle et meilleure interprétation féminine Guillaume Lambert a quant à lui animé le Gala Artisans en après-midi où 16 prix Iris ont été décernés, pour un total de 30 prix Iris remis aux artistes et aux artisans et artisanes à l’origine de nos films cette année.
Les oiseaux ivres, de Ivan Grbovic sort grand gagnant du Gala avec un total de 10 trophées, tandis que L'Arracheuse de temps de Francis Leclerc a récolté 3.
Iris du Meilleur court métrage Iris du Meilleur court métrage D'ailleurs, vous pouvez le regarder depuis le plus grand confort de votre foyer comme il est actuellement disponible sur la plateforme Crave.
« Les oiseaux ivres » (Drunken Birds) d'Ivan Grbovic, grand gagnant du Gala Québec Cinéma et présentement disponible en VsD.
Sa carrière se poursuit alors que WaZabi Films, en charge des ventes internationales, a conclu une vente aux États-Unis avec le distributeur Corinth Films, où le film est distribué. Les Films Opale et micro_scope sont extrêmement fières des récompenses obtenues par le film Les oiseaux ivres d’Ivan Grbovic au Gala Québec cinéma qui a eu lieu dimanche dernier. Les oiseaux ivres a remporté les prix Iris du meilleur film (Luc Déry, Kim McCraw), de la meilleure réalisation (Ivan Grbovic) et du meilleur scénario (Ivan Grbovic, Sara Mishara). Il également raflé les prix de la meilleure interprétation féminine dans un premier rôle (Hélène Florent) celui de la meilleure interprétation masculine dans un rôle de soutien (Claude Legault) et obtenu ceux de la meilleure distribution des rôles (Casting Nathalie Boutrie), de la meilleure direction de la photographie (Sara Mishara), du meilleur son (Olivier Calvert, Stephen de Oliveira, Bernard Gariépy Strobl), du meilleur montage (Arthur Tarnowski) ainsi que celui pour la meilleure musique originale (Philippe Brault).
Au rayon des documentaires, le film Comme une vague, de Marie-Julie Dallaire, a remporté l'Iris du meilleur montage et du meilleur film documentaire. Sur scène, ...
Passé un peu inaperçu au moment de sa sortie en salle, en septembre dernier, ce premier long métrage du cinéaste et musicien irano-canadien Kaveh Nabatian est sorti de l’ombre dimanche soir en remportant l’Iris du meilleur premier film. Je t’aime et je m’ennuie déjà de toi ! », a lancé la réalisatrice. Sur scène, Marie-Julie Dallaire a tenu à remercier le regretté cinéaste Jean-Marc Vallée qui parrainé le film à titre de producteur exécutif. « Jean-Marc, tu n’as pas idée du cadeau que tu nous a fait en t’associant à notre projet. En fin de soirée, l’actrice semblait sous le choc quand elle est remontée sur scène pour cueillir le prix de la meilleure interprétation féminine dans un premier rôle pour son personnage d’agricultrice dans Les oiseaux ivres. Même si elle s’est fait voler la vedette par Les oiseaux ivres, Maria Chapdelaine n’est pas repartie bredouille. On savait que ça se jouerait entre Les oiseaux ivres et Maria Chapdelaine, qui avaient récolté respectivement 17 et 16 nominations.