Samedi 28 mai, le jury de Vincent Lindon a dévoilé le palmarès du Festival de Cannes. C'est Triangle of Sadness, de Ruben Östlund, qui a remporté la Palme ...
Quant aux prix d’interprétation, c’est Zar Amir Ebrahimi qui l’a reçu chez les femmes et Song Kang Ho chez les hommes. Présidé par Vincent Lindon, il a décidé de décerner la Palme d’or à Triangle of Sadness (Sans filtre), de Ruben Östlund. Âgé de 48 ans, le réalisateur suédois remporte sa deuxième Palme d’or, cinq ans après The Square. Dans Sans filtre (le titre original étant Triangle of Sadness), son nouveau film, il travaille encore à rendre compte, avec beaucoup de cynisme, de la cruauté humaine, s’attaquant cette fois-ci à d’ultra-riches personnes de la mode.
Le jury du Festival de Cannes a rendu son verdict ce samedi soir, en récompensant le film "Triangle of Sadness" du cinéaste Ruben Östlund.
- Prix du scénario : Tarik Sales pour "Boy From Heaven" - Prix d'interprétation masculine : Song Kang Ho pour "Booker" Jusqu'à présent, seuls Francis Ford Coppola, Shōhei Imamura, Bille August, Emir Kusturica, Michael Haneke, Ken Loach et Jean-Pierre et Luc Dardenne avaient remporté deux fois la Palme.
[VIDÉO] ▶️ Le 75e Festival de Cannes s'achève ce soir avec une ultime montée des marches pour la cérémonie de clôture. C'est Ruben Östlund qui remporte sa ...
Luc et Jean-Pierre Dardenne sont eux aussi sur les marches et devraient recevoir un prix pour "Tori et Lokita", leur film sur deux jeunes exilés africains pris au piège de la mafia en Belgique. Un drame hyper réaliste, comme toujours. La 75ème édition du Festival de Cannes s'achève ce soir avec la cérémonie de clôture animée par Virginie Efira et la révélation du palmarès établi par Vincent Lindon et son jury. Le prix d'interprétation féminine est attribué à l'actrice iranienne Zahra Amir Ebrahimi pour "Les Nuits de Mashhad" de Ali Abbasi. Elle y joue une journaliste sur la piste d'un serial killer de prostituées dans ce thriller inspiré d'une histoire vraie. Pas d'ex-aequo pour la Palme, mais c'est possible pour les autres prix. Et surtout le jury". "Ce prix a une très grande importance pour moi car je suis avant tout écrivain", explique le cinéaste qui dédie ce film aux jeunes cinéastes égyptiens en les invitant à raconter leur histoire. Il est attribué au Sud-coréen Park Chan-Wook pour "Decision to Leave". Un nouveau prix à Cannes pour le réalisateur de "Old Boy", Grand prix du jury sur la Croisette en 2003. "Decision to Leave", c'est un thriller romantique à la construction étonnante qui met en scène la rencontre entre un flic dépressif et une femme fatale. Elle est attribuée au Suédois Ruben Östlund pour "Triangle of Sadness". C'est sa deuxième Palme, cinq après "The Square". Une satire grinçante dans laquelle deux influenceurs montent à bord d'une croisière de super riches qui vire à la catastrophe. Sur scène, il filme le public et lui demande de saluer sa maman. Caustique, il cite chacun des animaux qui ont rendu possible le film et lance un "Hi Ho" qui ravit le public. Notre avis sur "Triangle of Sadness", la Palme d'or 2022 du réalisateur suédois Ruben Östlund, c'est à lire ici...
La Palme d'Or du festival de Cannes a été décernée ce samedi soir à Ruben Östlund pour "Triangle of Sadness", "Sans filtre" en français.
Présenté à Un Certain regard, ce premier film est signé de Gina Gammel et de Riley Kough, la petite-fille d'Elvis Presley. ll s'agit de la seconde Palme d'Or du réalisateur suédois. La Palme d'Or du festival de Cannes a été décernée ce samedi soir à Ruben Östlund pour "Triangle of Sadness", "Sans filtre" en français.
Le jury présidé par Vincent Lindon a décerné ce samedi soir sa plus haute récompense au film de Ruben Ostlund, sa deuxième en très peu de temps après «The ...
La comédienne incarne une journaliste qui enquête sur des meurtres dans le film d’Ali Abbasi, thriller tapageur inspiré d’un fait divers iranien. Perdre le fil. Frère et seuls. Le Polonais embrasse le chemin semé de mille embûches d’un âne aux yeux doux, imaginant dans un film à la folle liberté virtuose un cinéma animiste qui ne place plus l’homme au centre. Lire notre critique. Lire notre critique.
Le 75e Festival de Cannes a fait le choix de l'éclat de rire corrosif et politique en offrant une deuxième Palme d'or au Suédois Ruben Östlund, ...
« C’est fucking cool ! », s’est exclamé Park Chan-wook en recevant le Prix de la mise en scène pour Decision to Leave, un thriller policier. Un Prix spécial du 75e anniversaire a été décerné aux frères Jean-Pierre et Luc Dardenne, doubles palmés comme Ruben Östlund, qui ont tant marqué le Festival de Cannes. Tori et Lokita, qui s’intéresse au sort des réfugiés, était leur neuvième film (sur douze) a être présenté en compétition à Cannes. « Quand nous avons commencé ce tournage, un boulanger de Besançon a fait une grève de la faim pendant 12 jours pour protester contre l’expulsion de son apprenti africain. « On a voulu réaliser un film qui parle de la vie, dans toute sa fragilité, mais aussi toute sa force. Être vulnérable n’est pas une faiblesse », a-t-il rappelé, en larmes (et en français). Close, de loin le plus émouvant des 21 films de la compétition, est un bijou de récit initiatique, autobiographique, fin, subtil et magnifique. « Nous avons été extrêmement choqués par ce film », a déclaré Vincent Lindon au moment de remettre son prix à Ruben Östlund, 48 ans, qui avait été révélé à Cannes en 2014 grâce à Force majeure. Le charmant EO du vétéran polonais Jerzy Skolimowski, 84 ans, a remporté ex æquo le Prix du jury.
Stars at Noon, de Claire Denis, a remporté le Grand Prix ex æquo avec Close, de Lukas Dhont.
Ce film parle des femmes, de leur corps. Ruben Östlund, 48 ans, ne s'est pas assagi cinq ans après The Square, un film sur le milieu de l'art contemporain qui s'inscrivait dans le même veine. - Prix du 75e anniversaire : Tori et Lokita de Jean-Pierre et Luc Dardenne
Cannes, France, May 28 (EFE).- Swedish director Ruben Östlund's satire “Triangle of Sadness” was the big winner Saturday as the 75th Cannes Film Festival ...
“All of us agree that the unique thing with cinema is that we’re watching together. The Grand Prize, second only to the Palme in the official section at Cannes, was bestowed “ex aequo” (equally) on “Close,” by Belgium’s Lukas Dhont, and “Stars at Noon,” a film from French director Claire Denis. Östlund, who won the Palme d’Or in 2017 for “The Square,” becomes only the eighth filmmaker to claim the honor twice.
NEON earned bragging rights tonight with the third consecutive Palme d'Or Cannes winner in a row, that being Ruben Östlund's satirical comedy Triangle of ...
The pic clocks in at 2 1/2 hours. Triangle of Sadness is a knock on the 1% and follows a fashion model and her model casting agent partner, played by Charlbi Dean and Harris Dickinson. The duo wind up on luxury yacht where they’re the poorest of the poor. Hijinks ensue with a portion marooned to a deserted island.
CANNES, France (AP) — Swedish director Ruben Ostlund's class warfare comedy “Triangle of Sadness” won the Palme d'Or at the 75th Cannes Film Festival on ...
Saturday's closing ceremony brought to a close a Cannes that attempted to fully resuscitate the annual France extravaganza that was canceled in 2020 by the pandemic and saw modest crowds last year. But their presence helped restore some of Cannes' glamour after the pandemic scaled down the festival for the last two years. “We wanted after the screening (for people) to go out together and have something to talk about,” said Ostlund. “All of us agree that the unique thing with cinema is that we're watching together. “Triangle of Sadness," featuring Woody Harrelson as a Marxist yacht captain and a climactic scene with rampant vomiting, pushes the satire even further. The award for best first film, the Camera d’Or, went to Riley Keough and Gina Gammell for “War Pony,” a drama about the Pine Ridge Reservation made in collaboration with Oglala Lakota and Sicangu Lakota citizens. The jury also awarded a special award for the 75th Cannes to Belgian directors Jean-Pierre and Luc Dardenne, two-time Palme-winners and long a regular presence at the festival, for their immigrant drama “Tori and Lokita.” Swedish-Egyptian filmmaker Tarik Saleh took best screenplay at Cannes for “Boy From Heaven,” a thriller set in Cairo’s Al-Azhar Mosque.
Ruben Östlund's super-rich satire is an unworthy winner, particularly given the calibre of competition on the Croisette.
But there were no ideas in it that had not already been aired more subtly, more rewardingly, and yet also more powerfully in his previous film, The Square, and it seemed very shallow to me. The Iranian actor Zar Emir-Ebrahimi won best actress as the (fictional) investigative journalist who cracks the (real) case of a serial killer in Holy Spider – again, a good performance, though not in the league of Tang Wei in Decision to Leave. As for the acting, the great Korean player Song Kang-ho (much loved here in Cannes for his tremendous leading turn in the Palme-winning Parasite) won the best actor prize as the emotionally conflicted hustler who sells unwanted babies to childless couples in the serio-comedy Broker from Japanese auteur Hirokazu Kore-eda. It was a good performance, although the film itself is hardly Kore-eda’s best. The Grand Prix went (jointly) to the movie that everyone here adored: Lukas Dhont’s intense and fervent drama about the relationship between two 13-year-old boys, which was indeed wonderfully acted and very affecting. British actor Harris Dickinson plays a fashion model who fears his career is washed up and on the rocks (one cruel art director tells him his “triangle of sadness”, the zone on his forehead above his eyebrows, is not quite all that it could be). Perhaps to cheer him up, his vapid and selfish fashion model girlfriend Yaya (Charlbi Dean) takes him on a luxury cruise that she has got for nothing thanks to her massive Instagram-influencer following. The opening section is interesting, but otherwise it is derivative (ideas taken from Marco Ferreri’s La Grande Bouffe and JM Barrie’s The Admirable Crichton) and heavy-handed.
The film festival's top prize went to a brutal sendup of class politics directed by Ruben Ostlund, who also won in 2017 for his satire “The Square.”
The best actor prize was given to Song Kang-ho, the brilliant South Korean actor (“Parasite”), for his sensitive, soulful performance as a baby trafficker in “Broker,” the latest from the Japanese auteur Hirokazu Kore-eda. After accepting his award, Saleh dedicated his prize to young Egyptian filmmakers: “Raise your voices, and tell your stories.” “Close,” a critical and audience favorite about two 13-year-old boys whose friendship is tragically tested, drew warm applause from the Lumière audience.
Ruben Östlund's social satire Triangle of Sadness has won the Palme d'Or at the 75th Cannes film festival, handing the Swedish director one of cinema's most ...
It hinges entirely on the deliberations of the jury, which take place in private. Östlund won Cannes’ top honour for his film The Square in 2017. Saturday’s closing ceremony ends a Cannes that has attempted to fully resuscitate the annual France extravaganza, which was canceled in 2020 by the pandemic and saw modest crowds last year.
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Ce film parle des femmes, de leur corps. Ruben Östlund, 48 ans, ne s'est pas assagi cinq ans après The Square, un film sur le milieu de l'art contemporain qui s'inscrivait dans le même veine. - Prix du 75e anniversaire : Tori et Lokita de Jean-Pierre et Luc Dardenne
Au moment d'ouvrir samedi soir la cérémonie du 75e Festival de Cannes, Virginie Efira a eu cette saillie: «Dès demain à Cannes, les personnes âgées auront à ...
ÉCLAIRAGE - Palme d'Or du Festival de Cannes, la satire réalisée par Ruben Östlund est sans conteste le film le plus divertissant de la compétition.
Le navire a également abrité le mariage du prince Rainier III de Monaco et de Grace Kelly en 1956. Et le pont du navire n'est pas un décor de cinéma, explique Le Huffington Post. La mère de famille, Ebba, fait tout pour protéger ses enfants tandis que le père, Thomas, prend la fuite pour tenter de sauver sa vie. "Ce yacht est un symbole très fort de l’élite des années 60 et 70 et de la ribambelle d’hommes célèbres et puissants comme Churchill qui ont passé beaucoup de temps à son bord." Le voyage tourne à la catastrophe en raison d'une tempête. Ils vont rencontrer d'autres personnages caricaturaux, dont de vieilles rombières botoxées, un milliardaire russe qui a fait fortune dans les engrais et ses deux maîtresses, un capitaine en roue libre avec un penchant alcoolique...