Elisabeth Borne

French President Emmanuel Macron picked Labour Minister Elisabeth Borne as his new prime minister on Monday as he prepares for legislative elections in June ...

She will be tasked with staring down France's muscular unions to oversee his most contested election pledge: raising the retirement age. As transport minister in 2017, she held out against weeks of strikes and demonstrations to end a generous pension and benefits system for SNCF railway workers. She then took charge of the Labour Ministry and oversaw negotiations with unions that resulted in a cut to unemployment benefits for some job seekers.

Le président français Emmanuel Macron a nommé lundi la ministre du Travail Élisabeth Borne à la tête du gouvernement, deuxième femme à accéder à ces ...

Cette réforme est pleinement entrée en vigueur en décembre, après avoir été un temps suspendue. Cette ingénieure de formation fait partie de l’aile gauche du président, un atout à l’heure où s’annoncent de nouvelles réformes sociales, à commencer par « la mère des batailles » sur le report de l’âge de la retraite. Outre l’avantage d’être une femme, une option soutenue par 74 % des Français selon un sondage Ifop, cette ancienne directrice de cabinet de la socialiste Ségolène Royal a également le mérite d’appartenir à l’aile gauche de la majorité, au moment où s’annoncent de nouvelles réformes sociales, à commencer par « la mère des batailles » sur les retraites. Jean Castex, qui s’était autoproclamé « premier ministre de l’intendance », a multiplié les déplacements à travers la France (350 en 22 mois) imprimant l’image d’un chef de gouvernement « des territoires », soucieux de la promotion de l’exécution des réformes, quitte à passer complètement sous les radars au plan national. M. Castex a salué les « agents et fonctionnaires de l’État et du service public » et plus particulièrement ceux du secteur de la « santé publique » auxquels il a associé les salariés de santé du privé pour leur « courage » et leur « abnégation absolument exceptionnelle » face à la pandémie de COVID-19. « Il faut agir plus vite et plus fort » face au « défi climatique et écologique », a déclaré la nouvelle Première ministre, appelant à « le faire en associant encore davantage les forces vives » du pays.

Mme Borne, technicienne tenace, jugée loyale, est perçue par le pouvoir comme ayant fait ses preuves au gouvernement pendant tout le dernier quinquennat, des ...

Emmanuel Macron a promis de tenir compte de la colère exprimée par de nombreux Français pendant la crise des «gilets jaunes», révoltés contre sa politique fiscale et sociale, et lors de l’élection présidentielle, et de changer de méthode. M. Castex a salué les «agents et fonctionnaires de l’État et du service public» et plus particulièrement ceux du secteur de la «santé publique» auxquels il a associé les salariés de santé du privé pour leur «courage» et leur «abnégation absolument exceptionnelle» face à la pandémie de COVID-19.» Edith Cresson a en revanche salué sur BFMTV «un très bon choix», mais a déploré qu’il ait fallu attendre aussi longtemps pour retrouver une femme à ce poste, jugeant la «classe politique» française «particulièrement arriérée».

Labour minister Borne, 61, is only second woman in modern French history to be PM, after Édith Cresson.

The left is seeking to increase its seats in parliament. “For me, doing politics is not about getting people to talk about me at any price, it’s about dedicating myself to delivering projects in the service of my country,” she told France Inter radio last year. He is under pressure to win back voters on the centre left in the parliamentary elections. Borne’s personal background on the centre left is crucial for Macron, particularly in the run-up to the parliament elections. Le Pen, who is running for re-election to parliament, said: “Emmanuel Macron has shown his incapacity to unite people and the will to continue his politics of looking down on people, deconstructing the state and wrecking the social [security system], of fiscal rackets and laxism.” The radical left’s Jean-Luc Mélenchon tweeted that Borne’s appointment meant “the continuity of the president’s policies”. He tweeted: “A new season of social and environmental mistreatment begins.” Cresson had warned this weekend that French politics remained “macho”. A total of 74% of French people said they wanted a female prime minister, according to an Ifop poll this weekend.

Le premier ministre français Jean Castex a remis lundi sa démission, après 22 mois à la tête du gouvernement.

Le président centriste libéral avait assuré il y a une semaine à Berlin qu’il connaissait déjà le nom de son prochain Premier ministre... «Sa nomination commence dès les premiers instants par une tentative de tromperie, Mme Borne serait une femme de gauche», a réagi le chef de file de la gauche radicale Jean-Luc Mélenchon, lui contestant cette appellation. Jean Castex, qui s’était autoproclamé «Premier ministre de l’intendance», a multiplié les déplacements à travers la France - 350 en 22 mois - imprimant l’image d’un chef de gouvernement «des territoires», soucieux de la promotion de l’exécution des réformes, quitte à passer complètement sous les radars au plan national.

(Bloomberg) -- President Emmanuel Macron on Monday named former labor minister Elisabeth Borne as France's second woman prime minister.

Mitterand and Jacques Chirac failed to do so and ended up having to select their premier from an opposing party representing the largest bloc. When it came to winning over the French, Cresson didn’t help herself and became known for outlandish, insensitive comments. Famously, during a meeting with the biggest agriculture lobby, opponents held aloft posters that read “Edith, we hope you’re better in bed than as minister.” In his victory speech, the 44-year-old centrist acknowledged rising discontent and vowed to heal rifts. It’s also an attempt to change the narrative. Prior to that, Borne was president of the publicly-owned Paris public transport network RATP.

Élisabeth Borne a été nommée Première ministre, a annoncé l'Élysée. Elle succède ainsi à Jean Castex, qui a annoncé sa démission lundi après-midi.

"Elle ne mesure pas toujours que tout le monde n’a pas les mêmes capacités", confiait l'un de ses proches en 2018 à Libération. "Les fonctions qu’elle a occupées génèrent du stress, cela peut déborder sur les équipes." Élisabeth Borne a été directrice technique à la Sonacotra (Société Nationale de Construction de logements pour les travailleurs Algériens, devenue l'Adoma) entre 1993 et 1996. Élisabeth Borne n'a jamais été élue. Elle participe à sa première campagne électorale avec les élections législatives de juin prochain puisqu'elle est candidate dans la sixième circonscription du Calvados. "C'est une circonscription qui compte beaucoup pour moi, dans un département, le Calvados, qui est le berceau de ma famille", a-t-elle indiqué à La Manche libre. Elle était alors la première femme à occuper cette fonction dans la région. J'étais pupille de la nation et j'ai pu faire mes études avec une bourse", avait-elle confié. Élisabeth Borne avait alors indiqué avoir été "pupille de la nation" : "Ça n’a pas toujours été simple.

Pour donner une couleur plus verte et plus rose au nouveau mandat du chef de l'État, cette ancienne proche du Parti socialiste a pour elle son expérience de ...

Aider chacun à s’émanciper par le travail, c’est une valeur de gauche." Pour donner une couleur plus verte et plus rose au nouveau mandat du chef de l'État, cette ancienne proche du Parti socialiste a pour elle son expérience de cheffe de cabinet de Ségolène Royal lorsque cette dernière était ministre de l'Écologie, en 2014 et 2015. Le 17 mai 2017, elle était nommée ministre des Transports. Presque cinq ans jour pour jour après son entrée au gouvernement, Elisabeth Borne rempile avec une promotion puisqu'elle devient Première ministre.

Mme Borne, technicienne tenace, jugée loyale, est perçue par le pouvoir comme ayant fait ses preuves au gouvernement pendant tout le dernier quinquennat, des ...

Emmanuel Macron a promis de tenir compte de la colère exprimée par de nombreux Français pendant la crise des «gilets jaunes», révoltés contre sa politique fiscale et sociale, et lors de l’élection présidentielle, et de changer de méthode. M. Castex a salué les «agents et fonctionnaires de l’État et du service public» et plus particulièrement ceux du secteur de la «santé publique» auxquels il a associé les salariés de santé du privé pour leur «courage» et leur «abnégation absolument exceptionnelle» face à la pandémie de COVID-19.» Edith Cresson a en revanche salué sur BFMTV «un très bon choix», mais a déploré qu’il ait fallu attendre aussi longtemps pour retrouver une femme à ce poste, jugeant la «classe politique» française «particulièrement arriérée».

PARIS — French President Emmanuel Macron has chosen Elisabeth Borne to lead his new government, putting an end to weeks of speculation after the ...

Borne is also running as a candidate in the upcoming parliamentary election for Macron’s La République en Marche party. Castex’s departure was long planned following Macron’s victory in April’s presidential election. After appointing two conservative prime ministers during his first term, Macron has chosen Borne — a former head of the Paris metro network who has historically been close to the Socialist Party.

PARIS — French President Emmanuel Macron appointed Élisabeth Borne as his new prime minister on Monday, selecting a politician with leftist credentials to ...

By choosing Borne, however, Macron has selected a prime minister whose appointment may not spark the enthusiasm that some of his allies had hoped for. Castex, 56, who led the French government since 2020 and handled government business through most of the pandemic, was largely associated with the center-right. As transport minister, Borne pushed for cuts of benefits for railway employees.

Le président français Emmanuel Macron a choisi lundi Elisabeth Borne comme première ministre en remplacement de Jean Castex.

AFP AFP AFP

Mme Borne, technicienne tenace, jugée loyale, est perçue par le pouvoir comme ayant fait ses preuves au gouvernement pendant tout le dernier quinquennat, des ...

Emmanuel Macron a promis de tenir compte de la colère exprimée par de nombreux Français pendant la crise des «gilets jaunes», révoltés contre sa politique fiscale et sociale, et lors de l’élection présidentielle, et de changer de méthode. M. Castex a salué les «agents et fonctionnaires de l’État et du service public» et plus particulièrement ceux du secteur de la «santé publique» auxquels il a associé les salariés de santé du privé pour leur «courage» et leur «abnégation absolument exceptionnelle» face à la pandémie de COVID-19.» Edith Cresson a en revanche salué sur BFMTV «un très bon choix», mais a déploré qu’il ait fallu attendre aussi longtemps pour retrouver une femme à ce poste, jugeant la «classe politique» française «particulièrement arriérée».

Trois décennies après Edith Cresson, seule femme à avoir dirigé le gouvernement français, l'ex-ministre du Tra.

Loyale, au service de l’Etat et du président, elle a effectivement mené les réformes difficiles de l’assurance chômage et de la SNCF au cours du premier quinquennat macronien. Et aussi par son ralliement précoce à Emmanuel Macron, qui l’a recentrée. Avant d’être ministre du Travail sous Jean Castex, elle a aussi été ministre des Transports et ministre de la Transition écologique sous Edouard Philippe. Un CV idéal pour gérer les réformes des retraites et climatiques qui promettent d’être les plus suivies des prochains mois. Profil plutôt consensuel, elle a commencé sa carrière politique du côté socialiste en dirigeant notamment le cabinet de Ségolène Royal au ministère de l’écologie. Lors de la passation de pouvoir avec Jean Castex à Matignon ce lundi soir, Elisabeth Borne a d’ailleurs tenu à rendre hommage à l’empathie de son prédécesseur et aux aspects les plus sociaux de leur bilan ensemble même si ils n'étaient pas du même bord: «Merci pour les combats que nous avons menés au service des Français», a-t-elle lancé avant de s’engager à partager sa «conviction que les politiques publiques doivent se bâtir dans le dialogue» et à privilégier comme lui le collectif.

Après cinq années passées au gouvernement, Elisabeth Borne a été nommée à Matignon. Une consécration pour cette femme de 61 ans connue pour sa connaissance ...

Le président de la République a accepté la démission de Jean Castex puis nommé Elisabeth Borne Première ministre. Dans ses différents ministères, Elisabeth Borne a géré plusieurs dossiers sensibles comme la réforme de la SNCF au printemps 2018 ou la réforme de l'assurance-chômage en 2021. L'exaspération a parfois été telle que certains dans l'administration ont envisagé sérieusement d'en référer par écrit au président de la République et au Premier ministre, sans suite finalement. Avec Gérald Darmanin, Bruno Le Maire et Jean-Yves Le Drian, Elisabeth Borne fait partie des rares ministres qui le sont restés tout au long du quinquennat. nommée ce lundi à Matignon en remplacement de Jean Castex , Elisabeth Borne, 61 ans, affiche un parcours sans faute, celui d'une « techno » passée en politique sans accroc majeur. Lors de sa nomination dans le premier gouvernement d'Edouard Philippe en mai 2017, Elisabeth Borne était une parfaite inconnue pour le grand public.

Le président Emmanuel Macron a choisi Élisabeth Borne comme première ministre en remplacement de Jean Castex.

Élisabeth Borne a également fait un passage en 2014 comme directrice de cabinet de la ministre de l'Environnement à l'époque, la socialiste Ségolène Royal, ex-candidate à la présidentielle. Cette réforme est pleinement entrée en vigueur en décembre, après avoir été un temps suspendue. Avant d'être ministre du Travail, Mme Borne avait géré le portefeuille des Transports où elle a mené une réforme délicate des chemins de fer SNCF, puis celui de l'Écologie en 2019, en remplacement du ministre à l'époque contraint de démissionner à la suite de révélations concernant son train de vie fastueux.

She is experienced in negotiating with trade unions, seen as crucial as Emmanuel Macron prepares an overhaul of the pensions and benefits system which could ...

Known to discreetly vape, even in parliament, Borne was regularly on television at the height of the Covid pandemic to remind French people to work from home and defend the government’s job protection scheme. A member of the French Resistance, he was deported in 1942 and died in 1972, when she was a child. During Macron’s first term in office, Borne often contested the view that the pro-business president had veered from his stance of “neither left nor right” to firmly centre right.

French President Emmanuel Macron picked Labour Minister Elisabeth Borne as his new prime minister on Monday as he prepares for legislative elections in June ...

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Borne, 61, the labor minister in French President Emmanuel Macron's previous government, succeeds Jean Castex, whose resignation on Monday was expected after ...

In a tweet, Macron thanked Castex and his team, saying “he took action with passion and dedication to serve France." Macron also promised that the new prime minister would be directly in charge of “green planning,” seeking to accelerate France’s implementation of climate-related policies. She ultimately managed to pass the bill. Macron also promised a bill addressing the rising cost of living in France, where food and energy prices are surging. French Junior Minister for Ecology and Solidarity Elisabeth Borne leaves the Elysee Palace after the weekly cabinet meeting, in Paris, Wednesday, Sept. 5, 2018. The proposed changes have been criticized by workers, unions and left-wing voters.

[VIDÉO] ▶️ Lors du premier quinquennat d'Emmanuel Macron, Élisabeth Borne a été successivement ministre des Transports, de l'Écologie, puis du Travail.

Élisabeth Borne a confirmé une détermination à mener une réforme des retraites, la nécessité de travailler plus longtemps et celle d'un système plus juste. La carrière d'Élisabeth Borne est un aller-retour régulier entre l'administration et le privé, EFAG, puis la SNCF. En 2015, elle prend la tête de la RATP. Son grand chantier à venir, c'est la réforme des retraites. Il y a dix jours, elle était au premier rang lors de l'investiture d'Emmanuel Macron à l'Élysée. L'accolade est furtive, mais à cette époque déjà, son nom circulait pour remplacer Jean Castex. À 61 ans, Élisabeth Borne coche bon nombre de cases.

Trois semaines après sa réélection à l'Elysée, Emmanuel Macron a nommé Élisabeth Borne à Matignon. Une forme de continuité puisque celle qui est désormais ...

Quelques minutes auparavant, le président de son parti, Jordan Bardella, avait pour sa part évoqué au micro de LCP "le choix d'une Premier ministre anti-sociale". C'est un CDD de mission d'intérim." Quelques 45 minutes plus tard, le leader des Insoumis tweete cette fois, à propos d'Élisabeth Borne dont le nom a été confirmé : "baisse de l’allocation d’1 million de chômeurs, suppression des tarifs réglementés du gaz, report de 10 ans de la fin du nucléaire, ouverture à la concurrence de la SNCF et RATP. Très pour la retraite à 65 ans. C'est le ballet traditionnel lors d'un changement de Premier ministre et de gouvernement.

Jamais élue, cette polytechnicienne de 61 ans est une femme de dossiers. Aux yeux d'Emmanuel Macron, elle a une qualité essentielle : pouvoir amadouer la ...

A moins que ce ne soit pour sonder d’autres profils qui, de Véronique Bédague à Valérie Rabault, en passant par Catherine Vautrin, lui ont fermé la porte au nez, ou ont provoqué un mouvement de rejet parmi ses soutiens. Certes, Elisabeth Borne incarne de par son genre une petite révolution : elle est la seule femme à occuper une telle responsabilité sous la Ve République depuis le passage éphémère d’Edith Cresson en 1991-1992. Trop « techno », pas assez « politique », trop « froide »… Longtemps considérée comme l’une des favorites pour rejoindre Matignon, Elisabeth Borne avait vu, au fil des semaines, son nom s’user dans la course aux rumeurs ouverte depuis la réélection d’Emmanuel Macron, le 24 avril.

Borne, 61, the labor minister in French President Emmanuel Macron's previous government, succeeds Jean Castex, whose resignation on Monday was expected after ...

In a tweet, Macron thanked Castex and his team, saying “he took action with passion and dedication to serve France.” Macron also promised that the new prime minister would be directly in charge of “green planning,” seeking to accelerate France’s implementation of climate-related policies. She ultimately managed to pass the bill. Macron also promised a bill addressing the rising cost of living in France, where food and energy prices are surging. The proposed changes have been criticized by workers, unions and left-wing voters. Macron’s choice of Borne was criticized by some left-wing politicians and their supporters.

PARIS — French President Emmanuel Macron has chosen Elisabeth Borne, a left-leaning technocrat, to lead his new government, putting an end to weeks of ...

Her name was circulated shortly after Macron won the presidential election, prompting speculation as to why he took so long to choose his prime minister. Supporters, however, say Borne is used to facing opposition and landing results in her past appointments. “Her appointment is deceptive, we are told she is a woman of the left, but we don’t think she deserves that label.” While Borne has worked on key reforms during Macron’s first presidential term, she is relatively unknown among the wider public. Several union representatives hailed Borne’s “ability to listen” during talks to end strikes at the rail company in 2018. After a handover meeting with Castex, Borne said it was urgent “to act more quickly and more strongly” on climate change.

Le président de la République française, Emmanuel Macron, a nommé lundi Élisabeth Borne au poste de première ministre, en remplacement de Jean Castex, qui ...

Sa nomination vient de surcroît contrarier la nouvelle coalition de gauche formée par Jean-Luc Mélenchon (La NUPES), qui vise une majorité lors des élections législatives prévues les 12 et 19 juin. La politologue admet que les mentalités ont évolué depuis l’introduction de quotas au début des années 2000. Tout le contraire de la classe politique, qui continue, selon Mariette Sineau, d’y voir une « chasse gardée » masculine. Son collègue Thomas Guénolé va dans le même sens. Il note que parmi les grandes puissances mondiales, la France était probablement le « pays le plus en retard en matière de féminisation des dirigeants politiques », et qu’il était plus que temps de se mettre au diapason. Lors de la passation de pouvoirs à Matignon (la résidence officielle du premier ministre en France), Mme Borne a promis qu’elle allait « agir plus vite et plus fort » face « au défi climatique et écologique », avant de dédier sa nomination « à toutes les petites filles », qu’elle a invitées « à aller au bout de leurs rêves ».

Elisabeth Borne a été nommée lundi Première ministre par Emmanuel Macron. Aurélien Rousseau a annoncé, mardi sur Twitter, avoir été nommé directeur de cabinet ...

Critiquant le programme "Un jeune une solution" mis en place par Elisabeth Borne, Philippe Martinez a mis en avant les queues devant les associations caritatives lors de la crise sanitaire. Avant le ministère du Travail, Elisabeth Borne avait occupé les portefeuilles des Transports et de la Transition écologique depuis 2017. "C'est une techno, elle n'a jamais été militante de la gauche, elle n'était même pas adhérente au Parti socialiste", a mis en avant le député insoumis. Les belles paroles, ça fait pas manger à la fin du mois". Vous n'avez pas le droit d'interdire la manière dont on s'habille", a souligné le député insoumis, rappelant ensuite la loi introduisant la laïcité de 1905. "Le président de la République a été élu sur un programme clair et ambitieux. Revenant sur la décision d'Eric Piolle et du conseil municipal de Grenoble de régir le règlement intérieur des piscines de la ville sur la question de l'hygiène, autorisant de facto pour les femmes le top less comme le port du burkini, Alexis Corbière a rappelé son attachement à la défense des libertés publiques. Pour afficher ce post, vous pouvez cliquer sur “paramétrer mes cookies” et accepter les traceurs liés à la finalité “réseaux sociaux”. Ça, c'est un signe", a-t-il lancé. Réagissant au discours que la nouvelle Première ministre a tenu lors de sa cérémonie d'investiture, Alexis Corbière a critiqué "des mots", "de la communication". "Il y a ce qu'elle dit, il y a ce qu'elle fait", a-t-il souligné. Pour lui, elle n'est pas une femme de gauche. "Je ne suis pas dupe. Pour afficher ce post, vous pouvez cliquer sur “paramétrer mes cookies” et accepter les traceurs liés à la finalité “réseaux sociaux”.