Justin Trudeau

WATCH: In a press conference alongside Ukrainian President Volodymyr Zelenskyy on Sunday, Canadian Prime Minister Justin Trudeau accused Russian President ...

And secondly he vastly underestimated the determination and the ability of countries around the world to stand against his actions and stand in support of our Ukrainian friends.” The Canadian government announced the closure of the embassy on February 12 due to concerns over a Russian invasion. “People are coming back and we need to do our work. However, until further notice, consular and immigration services will continue to be provided in Poland and other European cities. Maier, who has worked at the embassy for five years, said he was simply doing his job. He also visited Bucha, where retreating Russian forces in March left behind a path of horrific brutality and suffering that quickly spurred accusations of war crimes. Five entities would also be sanctioned for “providing indirect or direct support to the Russian military.” Which can provide us with those weapons – we all know this.” That is Putin’s legacy.” “Firstly, he miscalculated deeply the courage, the resolve, the strength of the Ukrainian people and of the Ukrainian leader. At the end of his address, Trudeau said: “Today we send a resounding message to the world that Canada and our allies continue to stand shoulder to shoulder with Ukraine,” before saying “Slava Ukraini.” “We will continue to do the work of being there for you with whatever we can, with whatever you need,” Trudeau said.

Justin Trudeau has safely landed for a one-day trip to Kyiv, one of just a few leaders who has ventured into the Ukrainian capital in a high-risk show of ...

Trudeau and his cabinet have been anxious to show Canada’s unequivocal support for Ukraine, sending billions in loans, aid and weapons, especially in recent weeks. “Typically that’s something you don’t do to have the prime minister and their deputy in a war zone at the same time,” he said. “To this end, we will pursue our ongoing military and defence assistance to the Ukrainian Armed Forces, continue supporting Ukraine in defending its networks against cyber incidents, and expand our co-operation, including on information security,” the statement said. “But it’s also, I assume, a very strong signal to Russia that she is there.” A press release described talk of “the need for additional international support — including humanitarian, financial, and military assistance” as well as sanctions against Russia. British Prime Minister Boris Johnson, UN Secretary-General Antonio Guterres and several European leaders have recently gone to Kyiv, along with other dignitaries. “Where this comes from is some countries not being willing to go to an immediate ban,” Sens said. The reopening of both embassies on Sunday seemed to symbolize an understanding by Canada and the U.S. of the significance of the day, May 8, the anniversary of the defeat of Nazis in Europe, in Ukrainian consciousness. Gassner said that since Trudeau is the second G7 leader to step onto Ukrainian soil during the war, the show of solidarity — and reopening of the Canadian embassy — is likely to provide a “morale boost” to Ukrainians still fighting to defend their country from Russian attacks. They’ve been able to protect their city.” But, Gassner said, there is little doubt Freeland was heavily involved in the “articulation of the idea” to go to Ukraine, because of her own status as a member of the Canadian Ukrainian community, and long history in the country dating back to her university education. It was a day of symbolism and anticipation for western countries’ support of Ukraine, as Trudeau spent the day with Ukrainian President Volodymyr Zelenskyy, the embassies of Canada and the U.S. reopened for the first time since the war started, and U.S. first lady Jill Biden visited Ukraine first lady Olena Zelenska, all on the anniversary of the end of the Second World War in Europe.

The Prime Minister's Office says he is scheduled to meet Ukraine President Volodymyr Zelenskyy to show Canada's support for the country and its people.

Larisa Galadza, Canada’s ambassador to Ukraine, joined them in a flag-raising ceremony. “It is clear that Vladimir Putin is responsible for heinous war crimes. Article content Article content Article content Article content

Le premier ministre a rouvert l'ambassade canadienne à Kiev et annoncé une nouvelle aide militaire.

Pour des raisons de sécurité, le plus grand secret a entouré la préparation de cette visite. Toutefois, des photos de la visite du premier ministre à Irpin ont été publiées sur Twitter par le maire de la ville. « En cette journée d’anniversaire de la victoire en Europe, Vladimir Poutine fait honte à la mémoire des millions de Russes qui ont lutté et fait des sacrifices pour vaincre le fascisme et assurer la liberté pour l'Europe et le monde. Accompagné au cours de cette visite inopinée par la ministre des Finances, Chrystia Freeland, et de la ministre des Affaires étrangères, Mélanie Joly, le premier ministre en a aussi profité pour annoncer une bonification de l'aide canadienne à l'Ukraine. Justin Trudeau a aussi annoncé la levée des tarifs douaniers sur les importations ukrainiennes et le versement de 25 millions de dollars au Programme alimentaire mondial pour contrer l’insécurité alimentaire au pays. reconnaissance de la bravoure et des capacités du peuple ukrainien, le premier ministre a annoncé la réouverture progressive de l’ambassade canadienne à Kiev.

Photo: Efrem Lukatsky Associated Press «Il est clair que Vladimir Poutine est responsable de ces odieux crimes de guerre», a affirmé Justin Trudeau, lors d'une ...

Un choix de vocabulaire qui pourrait s’expliquer par le fait que des pays européens dépendants du pétrole russe, en particulier l’Allemagne, sont membres du Groupe des sept, analyse le professeur Allen Sens. « C’est le genre de déclarations qu’on entend quand il n’y a pas eu une décision commune claire entre les pays », souligne M. Sens. « Ils essayaient de trouver refuge dans le bâtiment d’une école ordinaire, qui a été visée par une frappe aérienne russe », a-t-il renchéri. Cette attaque a d’ailleurs fait vivement réagir la communauté internationale dimanche, dont le secrétaire général des Nations unies, António Guterres, qui s’est dit « horrifié » par celle-ci. Cela porte à plus de 600 personnes le nombre de personnes qui ont été évacuées dans ce secteur, selon l’ONU. « Pas plus tard qu’hier, dans le village de Bilogorivka, dans la région de Louhansk, une bombe russe a tué 60 civils », a affirmé le dirigeant ukrainien. La visite surprise de Justin Trudeau en Ukraine a été l’occasion pour le premier ministre de prendre connaissance sur le terrain de l’étendue des ravages causés par l’ invasion russe dans ce pays. Des frappes russes ont par ailleurs retenti dimanche dans le nord du pays. À Irpin comme à Boutcha, Kiev accuse les forces russes d’avoir commis des massacres, après la découverte de dizaines de cadavres portant des vêtements civils dans ces localités occupées puis abandonnées par l’armée russe. La visite de M. Trudeau, qui était accompagné de ses ministres Mélanie Joly et Chrystia Freeland, qui a des origines ukrainiennes, a aussi été l’occasion de hisser de nouveau le drapeau du Canada à l’ambassade du pays à Kiev. Ses services diplomatiques reprendront progressivement dans les prochains jours après avoir d’abord été délocalisés à Lviv à la mi-février, puis en Pologne le jour de l’invasion russe, le 24 février. « Ce matin, j’ai été très touché de pouvoir hisser le drapeau canadien à Kiev », a déclaré M. Trudeau pendant son point de presse. Or, cette mesure « reste plutôt symbolique qu’autre chose », estime le professeur titulaire au Département de science politique du Collège militaire royal du Canada Pierre Jolicœur, en entrevue au Devoir. Les symboles sont toutefois « importants sur la scène internationale, et c’est particulièrement important dans le contexte de la guerre en Ukraine », où la population a besoin de se sentir appuyée, analyse pour sa part le professeur au Département de science politique de l’Université de la Colombie-Britannique Allen Sens. Le dirigeant s’est ainsi rendu à Irpin, en banlieue de Kiev, où il a été témoin « de la brutalité de la guerre illégale menée par la Russie », a-t-il dit face aux journalistes. Pendant ce temps, la communauté internationale a promis de s’attaquer au secteur énergétique russe, qui finance en partie « la machine de guerre russe », mais ses prises de position demeurent timides, de l’avis des deux experts consultés par Le Devoir. Le premier ministre du Canada, Justin Trudeau, a condamné dimanche les « crimes de guerre » dont il a accusé son homologue russe, le président Vladimir Poutine, d’être la source lors d’une visite remarquée à Kiev, où il a alors promis de fournir plus d’aide militaire et humanitaire à l’Ukraine, où des bombardements continuent de faire des victimes.

Le premier ministre du Canada, Justin Trudeau, a effectué une visite surprise à Irpin, en Ukraine, dimanche.

La visite de Justin Trudeau en Ukraine n'avait pas été annoncée. Le premier ministre canadien Justin Trudeau s'est rendu dimanche à Irpin dans la banlieue de Kyïv, ville dévastée par des combats intenses entre les armées ukrainienne et russe, avant son occupation en mars par les Russes, a annoncé le maire de la ville. Visite surprise de Justin Trudeau en Ukraine

Le premier ministre Justin Trudeau s'est rendu inopinément en Ukraine dimanche où il a notamment rouvert l'ambassade du Canada à Kyiv.

Plus tôt, une cérémonie a eu lieu à Kyiv pour rouvrir l’ambassade du Canada dans la capitale. Selon Yann Breault, le positionnement canadien risque d’avoir des conséquences à long terme. « J’ai été très touché de lever le drapeau canadien. Dans la foulée, il a aussi accusé Vladimir Poutine d’être responsable de crimes de guerre. « C’est une vraie inspiration de constater comment les gens se sont levés pour défendre leur vie, défendre leurs communautés, défendre un avenir radieux pour eux et leurs familles dans un pays qu’ils aiment », a déclaré M. Trudeau en conférence de presse. Donc, ça me semble plus un positionnement stratégique pour l’image du Canada, en tant que défenseur du pouvoir à Kyiv. »

Trudeau and Ambassador Larisa Galadza returned the Canadian flag to the embassy in Kyiv, which will reopen this week after having been closed since shortly ...

Before his meeting with Mr. Zelensky, Mr. Trudeau toured the shattered town of Irpin, on the outskirts of Kyiv, which was the scene of some of the heaviest fighting in the early weeks of the war. And, of course, he was shocked,” Mr. Markushyn said in remarks posted to his Telegram account. Speaking alongside Mr. Zelensky, Mr. Trudeau said it was “clear that Vladimir Putin is responsible for heinous war crimes. After the assault on Kyiv failed, Russian troops withdrew from Irpin and other areas around the capital, revealing the scale of the killing and destruction that took place during Russia’s month-long occupation of the region. Secondly, he vastly underestimated the determination and the ability of countries around the world to stand against his actions and stand in support of our Ukrainian friends.” “This flag came down on February 13 and we’re really glad to be raising it again,” Mr. Trudeau said outside the Canadian embassy. Russia is not a party to the ICC. But missile strikes on the city are not uncommon, and air-raid sirens sounded on Sunday while Mr. Trudeau, Ms. Freeland and Ms. Joly were in the Kyiv region. First of all, he miscalculated deeply the courage, the resolve, the strength of the Ukrainian people and the Ukrainian leader. The delegation was expected to return to Canada by Monday. British Prime Minister Boris Johnson, Polish President Andrzej Duda and several other European leaders have already visited Kyiv in recent weeks. In addition, Canada will contribute $25-million in assistance via the World Food Programme. That funding was previously announced but not allocated.

Prime Minister Justin Trudeau made an unannounced visit Sunday to Ukraine, where he reopened the Canadian Embassy in Kyiv and expressed unwavering support ...

Larisa Galadza, Canada's ambassador to Ukraine, joined them in a flag-raising ceremony. Canada will support Ukraine as you seek justice for your people who Russia is killing and brutalizing.” The public itinerary for Trudeau posted Saturday suggested he would be in the National Capital Region Sunday and taking part in a meeting of G7 leaders on the situation in Ukraine. However, the itinerary was updated Sunday to note Trudeau's presence in Kyiv. “It is clear that Vladimir Putin is responsible for heinous war crimes. “It was a true inspiration to see people step up to defend their lives, defend their community, defend a bright future for themselves, for the families in the country they love,” he said. Canada is giving $25 million to the World Food Program for food security in Ukraine and will remove trade tariffs on all Ukrainian imports coming to Canada for the next year, Trudeau said.

Photo: Efrem Lukatsky Associated Press «Il est clair que Vladimir Poutine est responsable de ces odieux crimes de guerre», a affirmé Justin Trudeau, lors d'une ...

Un choix de vocabulaire qui pourrait s’expliquer par le fait que des pays européens dépendants du pétrole russe, en particulier l’Allemagne, sont membres du Groupe des sept, analyse le professeur Allen Sens. « C’est le genre de déclarations qu’on entend quand il n’y a pas eu une décision commune claire entre les pays », souligne M. Sens. « Ils essayaient de trouver refuge dans le bâtiment d’une école ordinaire, qui a été visée par une frappe aérienne russe », a-t-il renchéri. Cette attaque a d’ailleurs fait vivement réagir la communauté internationale dimanche, dont le secrétaire général des Nations unies, António Guterres, qui s’est dit « horrifié » par celle-ci. Cela porte à plus de 600 personnes le nombre de personnes qui ont été évacuées dans ce secteur, selon l’ONU. « Pas plus tard qu’hier, dans le village de Bilogorivka, dans la région de Louhansk, une bombe russe a tué 60 civils », a affirmé le dirigeant ukrainien. La visite surprise de Justin Trudeau en Ukraine a été l’occasion pour le premier ministre de prendre connaissance sur le terrain de l’étendue des ravages causés par l’ invasion russe dans ce pays. Des frappes russes ont par ailleurs retenti dimanche dans le nord du pays. À Irpin comme à Boutcha, Kiev accuse les forces russes d’avoir commis des massacres, après la découverte de dizaines de cadavres portant des vêtements civils dans ces localités occupées puis abandonnées par l’armée russe. La visite de M. Trudeau, qui était accompagné de ses ministres Mélanie Joly et Chrystia Freeland, qui a des origines ukrainiennes, a aussi été l’occasion de hisser de nouveau le drapeau du Canada à l’ambassade du pays à Kiev. Ses services diplomatiques reprendront progressivement dans les prochains jours après avoir d’abord été délocalisés à Lviv à la mi-février, puis en Pologne le jour de l’invasion russe, le 24 février. « Ce matin, j’ai été très touché de pouvoir hisser le drapeau canadien à Kiev », a déclaré M. Trudeau pendant son point de presse. Or, cette mesure « reste plutôt symbolique qu’autre chose », estime le professeur titulaire au Département de science politique du Collège militaire royal du Canada Pierre Jolicœur, en entrevue au Devoir. Les symboles sont toutefois « importants sur la scène internationale, et c’est particulièrement important dans le contexte de la guerre en Ukraine », où la population a besoin de se sentir appuyée, analyse pour sa part le professeur au Département de science politique de l’Université de la Colombie-Britannique Allen Sens. Le dirigeant s’est ainsi rendu à Irpin, en banlieue de Kiev, où il a été témoin « de la brutalité de la guerre illégale menée par la Russie », a-t-il dit face aux journalistes. Pendant ce temps, la communauté internationale a promis de s’attaquer au secteur énergétique russe, qui finance en partie « la machine de guerre russe », mais ses prises de position demeurent timides, de l’avis des deux experts consultés par Le Devoir. Le premier ministre du Canada, Justin Trudeau, a condamné dimanche les « crimes de guerre » dont il a accusé son homologue russe, le président Vladimir Poutine, d’être la source lors d’une visite remarquée à Kiev, où il a alors promis de fournir plus d’aide militaire et humanitaire à l’Ukraine, où des bombardements continuent de faire des victimes.

Canadian Prime Minister Justin Trudeau made an unannounced visit on Sunday to the Ukrainian town of Irpin, which was retaken from Russian troops in late ...

The Russian military occupied Irpin following Moscow's Feb. 24 invasion but Ukrainian forces seized back control. Register now for FREE unlimited access to Reuters.com Register now for FREE unlimited access to Reuters.com

En pleine commémoration de la fin de la Seconde Guerre mondiale en Europe, le premier ministre canadien Justin Trudeau a causé la surprise dimanche en se ...

Plus tôt, une cérémonie a eu lieu à Kyiv pour rouvrir l’ambassade du Canada dans la capitale. Selon Yann Breault, le positionnement canadien risque d’avoir des conséquences à long terme. « J’ai été très touché de lever le drapeau canadien. Dans la foulée, il a aussi accusé Vladimir Poutine d’être responsable de crimes de guerre. « C’est une vraie inspiration de constater comment les gens se sont levés pour défendre leur vie, défendre leurs communautés, défendre un avenir radieux pour eux et leurs familles dans un pays qu’ils aiment », a déclaré M. Trudeau en conférence de presse. Donc, ça me semble plus un positionnement stratégique pour l’image du Canada, en tant que défenseur du pouvoir à Kyiv. »