Jon Cooper encense l'ancien ailier du Canadien pour ses qualités de meneur.
« Je n’ai pas regardé beaucoup ce match, j’étais à l’aréna assez tard, a-t-il mentionné. Mais j’ai vu son but gagnant et j’étais heureux pour lui. « Je ne sais pas, a-t-il répliqué. Les Leafs ont quand même changé comparativement à l’an dernier. Mais en séries, il y a toujours plus d’émotions et de mises en échec, a dit Perry. C’est la nature des séries. Nous savons que l’enjeu est plus grand. Au premier match de la série contre les Leafs, Perry a allumé un feu en fin de troisième période alors que son équipe perdait 5 à 0. « Il a aussi de l’expérience, il a vécu toutes les situations. Marc Bergevin avait refusé de lui octroyer un contrat de deux ans, ouvrant la porte à un divorce avec le CH. On l’a écrit plus d’une fois au cours des derniers mois.
La dernière fois que Corey Perry avait déjoué Jack Campbell, c'était il y a un petit peu moins d'un an, le 31 mai 2021. Son but donnait alors l'avance 2-0 ...
– Le but d’Alexander Kerfoot était déjà le deuxième des Leafs en infériorité numérique dans cette série. Un exploit quand on sait que l’avantage numérique du Lightning n’a accordé que cinq buts en 82 matchs pendant la saison. De l’autre côté, c’était la panne sèche, à un point tel que, pendant une pénalité imposée à Pierre-Édouard Bellemare, en deuxième période, c’est le Lightning qui a obtenu quatre tirs (aucun pour les Leafs). Avant la rencontre de mercredi, il présentait même un taux d’arrêts de ,952 dans ces duels post-défaite, indicateur qui a légèrement baissé après qu’il a accordé trois buts sur 34 tirs aux Leafs. Il semble cette fois avoir trouvé chaussure à son pied chez le Lightning, qui se félicite de l’avoir embauché. Voilà aujourd’hui Bellemare et Perry, avec les mêmes résultats. Perry dont l’entraîneur-chef Jon Cooper disait, avant le match de mercredi, qu’il était un entraîneur adjoint sur patins. Mais à trois, ils ont surtout un redoutable palmarès : quatre Coupes Stanley et un total de sept participations à la finale.
Le Lightning de Tampa Bay est peut-être en retard 1-0 dans sa série face aux Leafs, mais on ne peut pas compter les champions en titre pour battus.
Il a aussi de l’expérience, il a vécu toutes les situations. Il voit bien le jeu, il l’analyse bien. Il y a des gars qui sont partis cet été et d’autres sont arrivés. Nous avions besoin d’ajouter un autre bon meneur. En effet, il est un leader incontesté dans le vestiaire et sur la patinoire. En saison régulière, il a terminé au huitième rang des pointeurs de l’équipe avec 40 points en 82 rencontres. C’était la deuxième fois de l’histoire du Lightning que l’équipe perdait par cinq buts lors d’un match éliminatoire. Ce soir, il tentera d’égaler la série et revenir chez lui et ne pas revenir en déficit de 0-2.
Victor Hedman a décrit avec humour son but à la toute fin de la première période.
Kucherov a aussi très bien joué. Mais nous avons aussi de très bons joueurs. « Nous nous sentons visés, a dit Hedman. Nous n’aimons pas perdre. Nous savions que nous étions pour rebondir. Nous étions plus désespérés. Nous avons bataillé. » Nous avons regardé ce que nous avions fait de croche. On a revu cette équipe championne de 2020 et 2021.
La dernière fois que Corey Perry avait déjoué Jack Campbell, c'était il y a un petit peu moins d'un an, le 31 mai 2021. Son but donnait alors l'avance 2-0 ...
– Le but d’Alexander Kerfoot était déjà le deuxième des Leafs en infériorité numérique dans cette série. Un exploit quand on sait que l’avantage numérique du Lightning n’a accordé que cinq buts en 82 matchs pendant la saison. De l’autre côté, c’était la panne sèche, à un point tel que, pendant une pénalité imposée à Pierre-Édouard Bellemare, en deuxième période, c’est le Lightning qui a obtenu quatre tirs (aucun pour les Leafs). Avant la rencontre de mercredi, il présentait même un taux d’arrêts de ,952 dans ces duels post-défaite, indicateur qui a légèrement baissé après qu’il a accordé trois buts sur 34 tirs aux Leafs. Il semble cette fois avoir trouvé chaussure à son pied chez le Lightning, qui se félicite de l’avoir embauché. Voilà aujourd’hui Bellemare et Perry, avec les mêmes résultats. Perry dont l’entraîneur-chef Jon Cooper disait, avant le match de mercredi, qu’il était un entraîneur adjoint sur patins. Mais à trois, ils ont surtout un redoutable palmarès : quatre Coupes Stanley et un total de sept participations à la finale.
Corey Perry est haïssable. Durant la période d'échauffement, il a envoyé la rondelle dans le filet adverse, en plus de narguer la foule en célébrant.
Ça promet pour la suite. Corey Perry et le Lightning en contrôle Corey Perry a le don de piquer l’ennemi là où ça fait mal.