Imran Khan

Imran Khan was ousted from his position as prime minister of Pakistan after 174 legislators voted against him in a no-confidence motion early on Sunday ...

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Pakistan's leader is ousted from office after 174 members voted against him in parliament.

The US denied any involvement. We have had discussions with our allies on the way forward once this government goes home.” “The incoming government … needs to put in hard effort to undo the damage,” said Tauseef Ahmed Khan, a political analyst. “We will not seek revenge. Khan alleged the US orchestrated his removal by conspiring with the opposition, and the next government will have to work hard to patch up relations with Washington – a key arms supplier. Khan became the first prime minister in the country’s history overthrown through a vote of no confidence, the only constitutional way to remove the head of government in Pakistan.

Pakistan's prime minister found to have broken the law by attempting to stop vote going ahead.

“What is happening with our democracy is catastrophic,” Khan said in his speech. “From paralysed bureaucracy to the foreign policy challenges to the broken economy, chaos is reigning supreme.” The opposition has stated its intention to hold elections in the next few months, though they are likely to be October at the earliest. They appealed to the supreme court, who overturned Khan’s decision. Fawad Hussain, Khan’s minister for information, called it a “sad day for Pakistan. The return of looters and a good man sent home.” The Islamabad high court also prepared itself to hear a late-night contempt of court case.

Un homme passe à vélo devant un portrait géant du Premier ministre pakistanais Imran Khan, le 19 février 2019 à Islamabad AFP/Archives.

Et son gouvernement pourrait n'avoir qu'une courte durée de vie. Vendredi soir, M. Khan avait assuré dans une adresse à la Nation avoir "accepté le jugement de la Cour suprême" exigeant la tenue de ce vote sur la motion de censure. La plus haute instance judiciaire du pays avait ordonné que l'Assemblée soit restaurée et que le vote sur la motion de censure ait lieu. Dans un énième rebondissement, le président de l'Assemblée et son adjoint, alliés indéfectibles de M. Khan depuis le début de la crise, ont démissionné sous la pression, après avoir fait tout leur possible pour empêcher la tenue du vote. Déjà ajournée en fin de matinée, la séance l'a été une nouvelle fois en fin d'après-midi, le président de l'Assemblée demandant aux députés de revenir après l'"iftar", le repas du soir rompant le jeûne du ramadan. Toute la journée de samedi, ses soutiens ont cherché à retarder l'inéluctable, même s'ils savaient déjà ne plus avoir la majorité, certains des alliés dans la coalition au pouvoir du parti de M. Khan, le Pakistan Tehreek-e-Insaf (PTI, Mouvement du Pakistan pour la justice), ayant fait défection depuis plusieurs jours.

Le Premier ministre pakistanais Imran Khan a été renversé ce samedi 9 avril par une motion de censure votée à son encontre par l'Assemblée nationale.

Toujours populaire auprès de larges pans de la population, il n'a sans doute pas dit son dernier mot en vue des prochaines échéances électorales. Certains craignent une période d'instabilité politique, d'autant qu'Imran Khan a déjà prévenu qu'il ne respectera pas ce nouvel exécutif qu'il surnomme « gouvernement importé ». Le Premier ministre déchu a également appelé à des manifestations ce dimanche soir. Il s'agit d'une victoire sans surprise pour la coalition de l'opposition qui avait la majorité depuis plusieurs jours.

The vote means Imran Khan will no longer hold office and the country's lower house will now elect a new prime minister and government.

There were just a few legislators of Khan’s ruling party present for the vote. Khan, 69, surged to power in 2018 with the military’s support, but recently lost his parliamentary majority when allies quit his coalition government. There were also signs he had lost the support of the military, analysts said.

ISLAMABAD, April 10 – Imran Khan was ousted as Pakistan's prime minister on Sunday after a no-confidence vote in parliament, bringing to a premature end a…

The government also began a project to plant 10 billion trees to reverse decades of deforestation. A second brief marriage to TV journalist Reham Nayyar Khan also ended in divorce. That year he was at long last victorious, marking a rare ascension by a sporting hero to the pinnacle of politics. Article content Article content Article content

Après plusieurs semaines de crise politique au Pakistan, le Premier ministre Imran Khan a été renversé dimanche par une motion de censure votée au Parlement ...

Mais la conjoncture économique et ses mauvais choix ont fini par le rattraper. Ses efforts pour positionner le Pakistan en acteur régional incontournable n'ont guère porté non plus. Mais la Cour suprême a jugé tout le processus inconstitutionnel. Comme chef du gouvernement, il a d'abord capitalisé sur son image d'incorruptible et la lassitude de la société à l'égard des partis traditionnels, qui ont monopolisé le pouvoir pendant des décennies avec l'armée. La motion a été "approuvée" par 174 des 342 députés, a annoncé le président par intérim de la chambre, Sardar Ayaz Sadiq. Imran Khan est le premier chef de gouvernement pakistanais à chuter sur un vote de défiance. Ses jours à la tête du Pakistan étaient comptés : le Premier ministre, Imran Khan, a été renversé dimanche 10 avril par une motion de censure votée à son encontre par l'Assemblée nationale, à l'issue de plusieurs semaines de crise politique.

C'est une fin de partie abrupte pour l'ancien joueur de cricket de 69 ans arrivé au pouvoir à l'issue des législatives de 2018.

Les liens avec Washington et les pays européens se sont distendus, notamment sous l’effet de ses diatribes contre l’islamophobie, déguisée à ses yeux en Occident sous les traits de la liberté d’expression. Islamabad s’est encore plus rapproché de la Chine. Et la visite officielle à Moscou d’Imran Khan le jour même du déclenchement de la guerre en Ukraine lui a valu nombre de moqueries. Comme chef du gouvernement, il a d’abord capitalisé sur son image d’incorruptible et la lassitude de la société à l’égard des partis traditionnels, qui ont monopolisé le pouvoir pendant des décennies avec l’armée. Pendant la pandémie de Covid-19, son choix de ne pas imposer de confinement national, qui aurait «fait mourir de faim» les gens, s’est révélé populaire et gagnant. La forte inflation, la dépréciation de la roupie depuis juillet et le creusement de la dette l’ont affaibli. Imran Khan a aussi pâti de la dégradation probable de ses liens avec l’armée, qui était accusée d’avoir interféré en sa faveur en 2018, même si celle-ci est restée silencieuse ces derniers jours. Elle a restauré l’Assemblée et ordonné qu’elle procède au vote sur la motion de censure, que M. Khan, lâché depuis quelques jours par plusieurs de ses alliés, a perdu. Imran Khan est arrivé au pouvoir en 2018, après la victoire aux législatives de son parti, le Pakistan Tehreek-e-Insaf (PTI), sur une plateforme populiste mêlant promesses de réformes sociales, conservatisme religieux et lutte contre la corruption.

Pakistan's Prime Minister Imran Khan has been removed from office after no-confidence motion against him succeeds.

The embattled Prime Minister Imran Khan has not been seen in the parliament so far during the crucial session. After reading details of a court ruling ordering the no-trust vote, which Khan’s allies had blocked last Sunday, Qaiser adjourned the session. The country of 22 crore (220 million) is without a government for weeks now,” she tweeted. It can also take Suo Motu notice of any attempt by Speaker, PM or President to obstruct implementation of its orders. The Pakistan Muslim League-Nawaz (PML-N) president Shehbaz Sharif has urged the parliament’s speaker to hold a vote on the no-confidence motion moved by the opposition. Maryam Nawaz Sharif, Pakistan Muslim League-Nawaz (PML-N) leader and daughter of former premier Nawaz Sharif, has accused Prime Minister Imran Khan of trying to delay the vote of no confidence in parliament. The crucial National Assembly session to vote on a no-confidence motion moved by the opposition parties has resumed. The Pakistan Tehreek-e-Insaaf (PTI) has filed a review petition against the Supreme Court order to delay a vote of no confidence. The Supreme Court Bar Association (SCBA) has submitted a petition to the Supreme Court over the government’s failure to hold a vote of no confidence. Maryam Nawaz of the PML-N has urged Pakistan’s Supreme Court to take action against Prime Minister Khan and others for disobeying its decision to hold the no-confidence vote today. This is the first time the no-confidence motion against a prime minister of Pakistan has been successful. Khan has been removed from the prime minister’s office after the no-confidence motion against him succeeds in parliament by a vote of 174-0.

Islamabad - Le Premier ministre pakistanais, Imran Khan, a été renversé dimanche par une motion de censure votée à son encontre par l'Assemblée nationale, ...

Et son gouvernement pourrait n'avoir qu'une courte durée de vie. A l'en croire, les Etats-Unis, déjà offusqués de ses critiques répétées à l'encontre de la politique américaine en Irak ou en Afghanistan, ont été ulcérés par sa visite à Moscou le jour même du déclenchement de la guerre en Ukraine. Vendredi soir, M. Khan avait assuré dans une adresse à la Nation avoir "accepté le jugement de la Cour suprême" exigeant la tenue de ce vote sur la motion de censure. Dans un énième rebondissement, le président de l'Assemblée et son adjoint, alliés indéfectibles de M. Khan depuis le début de la crise, ont démissionné sous la pression, après avoir fait tout leur possible pour empêcher la tenue du vote. Déjà ajournée en fin de matinée, la séance l'a été une nouvelle fois en fin d'après-midi, le président de l'Assemblée demandant aux députés de revenir après l'"iftar", le repas du soir rompant le jeûne du ramadan. Toute la journée de samedi, ses soutiens ont cherché à retarder l'inéluctable, même s'ils savaient déjà ne plus avoir la majorité, certains des alliés dans la coalition au pouvoir du parti de M. Khan, le Pakistan Tehreek-e-Insaf (PTI, Mouvement du Pakistan pour la justice), ayant fait défection depuis plusieurs jours.

Khan's Pakistan Tehreek-e-Insaf lost the support of coalition allies, denying him the parliamentary majority he needed.

Military’s view was that it was the fallout of the Afghan war and we had no choice. Response [in the military] is mixed on whether it should have been used to meddle with the vote of no confidence.” “Once the view was entrenched that he can’t stay, it was only a matter of time.” But by pledging to support the no-confidence vote against Khan, the coalition allies effectively ended Khan’s three and a half year spell as prime minister. General Bajwa’s second term as army chief will end in November, with General Hameed one of the senior-most generals eligible to replace him. While the Pakistani military backed Khan’s Moscow trip, differences intensified after Khan made a high-stakes domestic pivot. Imran Khan is a populist, that’s his vulnerability too.” Meanwhile, the economy remains in a parlous state. “But then I saw that while Khan publicly talked about the poor, privately he surrounded himself with wealthy investors.” The move piled further pressure on Pakistan’s chronic fiscal deficit and balance-of-payment troubles. “There was disgruntlement for the past two years,” Kakar added. The former prime minister’s political demise was rooted in twin new realities.

Le Premier ministre pakistanais, Imran Khan, a été renversé dimanche par une motion de censure votée à son encontre par l'Assemblée nationale, à l'issue de ...

Et son gouvernement pourrait n'avoir qu'une courte durée de vie. Vendredi soir, M. Khan avait assuré dans une adresse à la Nation avoir "accepté le jugement de la Cour suprême" exigeant la tenue de ce vote sur la motion de censure. La plus haute instance judiciaire du pays avait ordonné que l'Assemblée soit restaurée et que le vote sur la motion de censure ait lieu. Dans un énième rebondissement, le président de l'Assemblée et son adjoint, alliés indéfectibles de M. Khan depuis le début de la crise, ont démissionné sous la pression, après avoir fait tout leur possible pour empêcher la tenue du vote. Déjà ajournée en fin de matinée, la séance l'a été une nouvelle fois en fin d'après-midi, le président de l'Assemblée demandant aux députés de revenir après l'"iftar", le repas du soir rompant le jeûne du ramadan. Toute la journée de samedi, ses soutiens ont cherché à retarder l'inéluctable, même s'ils savaient déjà ne plus avoir la majorité, certains des alliés dans la coalition au pouvoir du parti de M. Khan, le Pakistan Tehreek-e-Insaf (PTI, Mouvement du Pakistan pour la justice), ayant fait défection depuis plusieurs jours.

Updated April 9, 2022 at 4:45 PM ET. Imran Khan was ousted from his position as prime minister of Pakistan after 174 legislators voted against him in a no-confidence motion early on Sunday morning. The vote came after the speaker of the house resigned, ...

The Jamiat-e-Ulema-Islam, or Assembly of Clerics, teaches a deeply conservative brand of Islam in its schools. It is you who have to protect your democracy, your sovereignty and your independence. He said they needed to protect Pakistan's sovereignty and oppose U.S. dictations. Before discussion of the vote began, all of Khan's allies walked out of the chamber. The U.S. State Department has denied any involvement in Pakistan's internal politics. "You have to come out to protect your own future.

Le Premier ministre pakistanais, Imran Khan, a été démis de ses fonctions samedi par une motion de défiance déposée par l'opposition pourtant minoritaire au ...

Le vote de samedi intervient après que la Cour suprême du Pakistan a jugé, plus tôt dans la semaine, que M. Khan avait agi de manière inconstitutionnelle en prononçant la dissolution du Parlement après une première tentative de le démettre de ses fonctions. M. Qaiser a invité un haut responsable de l'opposition, Ayaz Sadiq, à présider la session extraordinaire, dénonçant au passage une "conspiration étrangère" visant à évincer le chef du gouvernement. Le Premier ministre pakistanais, Imran Khan, a été démis de ses fonctions samedi par une motion de défiance déposée par l'opposition pourtant minoritaire au sein de l'Assemblée nationale.

Updated April 9, 2022 at 4:45 PM ET. Imran Khan was ousted from his position as prime minister of Pakistan after 174 legislators voted against him in a ...

The Jamiat-e-Ulema-Islam, or Assembly of Clerics, teaches a deeply conservative brand of Islam in its schools. It is you who have to protect your democracy, your sovereignty and your independence. He said they needed to protect Pakistan's sovereignty and oppose U.S. dictations. Before discussion of the vote began, all of Khan's allies walked out of the chamber. The U.S. State Department has denied any involvement in Pakistan's internal politics. "You have to come out to protect your own future.

Brief profiles of key opposition leaders as Khan becomes first Pakistan premier removed through no-confidence vote.

The Oxford-educated 33-year-old is considered a progressive, in his mother’s image, and has frequently spoken out on the rights of women and minorities. The 67-year-old became co-chairman of the Pakistan Peoples Party (PPP) after the assassination of Bhutto in 2007, and became president of the country a year later in a power-sharing deal with the PML-N. The 70-year-old is a political heavyweight in his own right, however, having served as chief minister of Punjab, the family’s power base, and now as president of the Pakistan Muslim League-Nawaz (PML-N).

Shehbaz Sharif, le leader de la Ligue musulmane du Pakistan, devrait être confirmé lundi par l'Assemblée pour rempl.

«Nous mettrons du baume sur les plaies de la Nation», a immédiatement promis Shehbaz Sharif, devant le reste de l'opposition extatique. Un autre parlementaire a pris leur place et la motion a dès lors pu être soumise au vote peu après minuit, non sans que les députés PTI aient décidé de quitter la chambre. Et son gouvernement pourrait n'avoir qu'une courte durée de vie. Imran Khan, célèbre pour avoir mené l’équipe nationale de cricket à sa seule victoire en Coupe du monde en 1992, a tout tenté jusqu'à la dernière minute pour se maintenir au pouvoir. Elle a été «approuvée» par 174 des 342 députés, a annoncé le président par intérim de la chambre, Sardar Ayaz Sadiq. Les échanges houleux ont continué en soirée, alors que les rumeurs les plus folles agitaient la capitale Islamabad, placée sous très forte surveillance sécuritaire.

Pakistan Prime Minister Imran Khan was ousted from office after losing a no-confidence vote following a week of dramatic political developments, ...

La motion a été approuvée par 174 des 342 députés. Imran Khan est le premier chef de gouvernement pakistanais à chuter à la suite d'un vote de défiance.

Mais après plusieurs années d’un calme relatif, les attentats ont repris de plus belle depuis août, menés notamment par les talibans pakistanais du Tehreek-e-Taliban Pakistan (TTP). Imran Khan a aussi pâti de la dégradation probable de ses liens avec l’armée, qui était accusée d’avoir interféré en sa faveur en 2018, même si celle-ci est restée silencieuse ces derniers jours. La forte inflation, la dépréciation de la roupie depuis juillet et le creusement de la dette l’ont affaibli. Ses efforts pour positionner le Pakistan en acteur régional incontournable n’ont guère porté non plus. Mais la conjoncture économique et ses mauvais choix ont fini par le rattraper. Malgré deux ajournements dans la journée, la manœuvre de M. Khan pour se maintenir au pouvoir au Pakistan a échoué. Le pays a été largement épargné (30 000 morts).

The former cricket star has been ousted after a no-confidence motion against him in parliament.

Still, many see him as a saviour of the common man in the roles of a cricketer, philanthropist and politician. Imran Khan has been removed from the prime minister’s office in Pakistan after a no-confidence motion against him succeeded in parliament. The former cricket star has been ousted after a no-confidence motion against him in parliament.

Imran Khan est le premier chef du gouvernement de l'histoire du pays à tomber sur une motion de censure depuis l'indépendance du pays, en 1947.

Aucun Premier ministre n'est allé jusqu'au bout de son mandat au Pakistan, depuis l'indépendance du pays en 1947. Imran Khan n'aura pas fait exception, mais surtout, il est le premier à tomber sur un vote de défiance. En poste depuis 2018, l'ancien champion de cricket (sport national au Pakistan) a été renversé, dimanche 10 avril, par une motion de censure votée à son encontre par l'Assemblée nationale, à l'issue de plusieurs semaines de crise politique et d'une dernière journée sous très haute tension. Imran Khan est le premier chef du gouvernement de l'histoire du pays à tomber sur une motion de censure depuis l'indépendance du pays, en 1947.

Aucun Premier ministre n'est jamais allé au bout de son mandat au Pakistan, depuis l'indépendance du pays en 1947.

Et son gouvernement pourrait n’avoir qu’une courte durée de vie. Vendredi soir, M. Khan avait assuré dans une adresse à la Nation avoir « accepté le jugement de la Cour suprême » exigeant la tenue de ce vote sur la motion de censure. « Nous mettrons du baume sur les plaies de la Nation », a immédiatement promis Shehbaz Sharif, devant le reste de l’opposition extatique. Dans un énième rebondissement, le président de l’Assemblée et son adjoint, alliés indéfectibles de M. Khan depuis le début de la crise, ont démissionné sous la pression, après avoir fait tout leur possible pour empêcher la tenue du vote. Aucun Premier ministre n’est jamais allé au bout de son mandat au Pakistan, depuis l’indépendance du pays en 1947, mais Imran Khan, au pouvoir depuis 2018, est le premier à tomber sur un vote de défiance. La motion a été « approuvée » par 174 des 342 députés, a annoncé le président par intérim de la chambre, Sardar Ayaz Sadiq. Déjà ajournée en fin de matinée, la séance l’a été une nouvelle fois en fin d’après-midi, le président de l’Assemblée demandant aux députés de revenir après l’« iftar », le repas du soir rompant le jeûne du ramadan.

Premier ministre depuis 2018, le célèbre joueur de cricket Imran Khan va laisser sa place après le vote d'une motion de censure par l'Assemblée dimanche.

Il avait même suscité la colère des Occidentaux par sa visite officielle à Moscou le jour même du déclenchement de la guerre en Ukraine. Si Washington a fermement nié toute ingérence dans les affaires pakistanaises, le prochain gouvernement aura fort à faire pour renouer les liens avec cet important fournisseur d'armes. Virulente, l'opposition conduite par Shebaz Sharif reproche à Imran Khan d'avoir échoué à redresser l'économie, mise à mal par la pandémie de coronavirus, et de ne pas avoir tenu ses promesses en matière de transparence et de contrôle de l'action du gouvernement. Dirigeant sévère, réputé pour ses emportements passionnés, il est connu pour citer des poèmes révolutionnaires dans ses discours et ses réunions publiques, et ses collègues le considèrent comme un bourreau de travail. Dès vendredi soir, Imran Khan avait capitulé, assurant dans une adresse à la Nation avoir « accepté le jugement de la Cour suprême » exigeant la tenue de ce vote. Au pouvoir depuis 2018 , Imran Khan, 69 ans, célèbre pour avoir mené l'équipe nationale de cricket, sport roi dans le pays, à sa seule victoire en Coupe du monde en 1992, a tout tenté jusqu'à la dernière minute pour se maintenir au pouvoir. Premier ministre depuis 2018, le célèbre joueur de cricket Imran Khan va laisser sa place après le vote d'une motion de censure par l'Assemblée dimanche.

Imran Khan was voted out as Pakistan's prime minister early on Sunday, ending weeks of political uncertainty that had fuelled a devaluation of the rupee, ...

Le Premier ministre a perdu le pouvoir après une motion de censure. Ses difficultés à tenir ses promesses, son intransigeance et l'inflation ont eu raison ...

Mais abandonné par ses alliés et une partie des députés de son parti, le PTI, le Premier ministre s'est incliné. La motion a été adoptée à 174 voix sur 342 dans la nuit de samedi à dimanche. C'est une première dans l'histoire du Pakistan. Jamais un chef de gouvernement n'avait perdu la confiance des députés. Ses difficultés à tenir ses promesses, son intransigeance et l’inflation ont eu raison de lui.De notre correspondant en Asie du Sud,

Pakistan Prime Minister Imran Khan's successor is to be elected and sworn in by Parliament on Monday.

His reputation for fighting corruption has brought a record $21 billion in deposits from overseas Pakistanis. “His removal would see him to a role he knows well, armed with a narrative of victimhood from unfounded claims of international interference,” she said. He was sentenced to 10 years in jail. Sunday’s vote capped a week-long constitutional crisis that had mesmerized the nation. Khan has claimed the U.S. worked behind the scenes to bring him down, purportedly because of Washington’s displeasure over his independent foreign policy choices, which often favour China and Russia. He has occasionally defied America and stridently criticized America’s post 9/11 war on terror. “Khan’s defeat would also leave Pakistan a bitterly partisan and divided place. In the end, 174 lawmakers in the 342-seat Parliament voted to depose him, two more than the required simple majority. The opposition has charged Khan’s government with economic mismanagement. Khan was brought down after a day of drama and often vitriolic remarks. General elections are not scheduled before August 2023. Khan said America was deeply disturbed by his visit to Russia and his meeting with Russian President Vladimir Putin on Feb. 24, the start of the devastating war in Ukraine. The ouster of Prime Minister Imran Khan in a parliamentary no-confidence vote early Sunday set Pakistan on an uncertain political path, with Khan calling on supporters to take to the streets in protest and the political opposition preparing to install his replacement.

Le Premier ministre pakistanais, Imran Khan, a été renversé dimanche par une motion de censure votée à son encontre par l'Assemblée nationale, ...

La première tâche de Shehbaz Sharif (PML-N) consistera à former un gouvernement de coalition avec le Parti du peuple pakistanais (PPP, gauche) et la petite formation conservatrice Jamiatul Ulema-e-Islam-F (JUI-F). Son successeur à la tête de cette république islamique de 220 millions d'habitants dotée de l'arme nucléaire devrait être Shehbaz Sharif, le leader de la Ligue musulmane du Pakistan (PML-N) (voir encadré). Aucun Premier ministre n'est jamais allé au bout de son mandat au Pakistan, depuis l'indépendance du pays en 1947, mais Imran Khan est le premier à chuter sur un vote de défiance.

Pakistan's now ousted PM appeared to give opposition ultimatum: agree to fresh elections or I'll bring in army.

He is expected to call elections in due course, likely to be held after October. Khan, who no longer held a parliamentary majority, lost by 174 votes, making him Pakistan’s first prime minister to be removed by a vote of no confidence. “These fake stories are being spread to mislead the public and create anarchy in the country. “Khan wanted to create a huge crisis to remain in power.” According to a report, Khan met with Gen Qamar Javed Bajwa, the army’s chief of staff, that night after trying to remove him earlier in the day. However, he failed to stop it happening, and in the final minutes before midnight on Saturday, he was ousted from office.